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Jeunes & Libres

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Fédération des Organisations de Jeunesse libérales

APPELS À PROJETS EN COURS 2025

29 avril 2025 by jetl

maj 02 mai 2025

Ci-dessous, vous trouverez plusieurs appels à projets en cours. Ils s’adressent notamment aux organisations de jeunesse :

  • Appel à projet Éducation aux médias 🠒 06 juin 2025
  • Appel à projet contre la pauvreté et les inégalités sociales 🠒 10 juin 2025
  • Appel à projet contre les discriminations et violences homo/bi/transphobes 🠒 18 août 2025
  • Appel à projet Fonds Ernest Solvay 2025 🠒 30 septembre 2025

Appel à projet Éducation aux médias

Il a pour but de renforcer l’éducation aux médias auprès des jeunes et des professionnels qui les accompagnent.

Conditions d’éligibilité :
Deux types de projets seront soutenus :

  • Des projets participatifs de jeunes de 6 à 30 ans ;
  • Des formations pour les travailleurs de jeunesse.

Les projets sélectionnés devront répondre aux objectifs suivants : 

  • Former les jeunes à l’analyse critique de l’information ;
  • Sensibiliser aux mécanismes de manipulation en ligne et aux dangers des bulles de filtres ;
  • Équiper les professionnels avec des outils pédagogiques adaptés ;
  • Encourager la production de contenus responsables par les jeunes eux-mêmes via des projets participatifs ;
  • Sensibiliser les plateformes numériques à plus de transparence et de régulation sur la désinformation.

Les organisations éligibles sont :

  • Les centres de jeunes agréés ;
  • Les organisations de jeunesse agréées ;
  • Les groupes locaux de mouvement de jeunesse ou thématique ;
  • La fédération d’école de devoirs ou les coordinations d’école de devoirs agréées ;
  • Les groupements de jeunesse reconnus par le service de la jeunesse.

Montant du subside :
Les projets sélectionnés, limités à 1 par association, pourront bénéficier d’une bourse d’un montant maximal de 7.500€ par projet.

Calendrier :

  • 06 juin : date limite de dépôt des projets ;
  • 16 juin : décision de la Ministre ;
  • Du 16 juin au 31 décembre : période de réalisation ;
  • 30 mars : remise des justificatifs.   

Comment candidater ?
En ligne, via ce formulaire.

En savoir plus…
Consultez le site de la FWB.


Appel à projet contre la pauvreté et les inégalités sociales

Cet appel à projet transversal lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles soutient le développement de projets visant à lutter contre la pauvreté et à réduire les inégalités sociales dans les compétences et sur le territoire de la FW-B.

Conditions d’éligibilité :

  • Les projets doivent être introduits par une personne morale sans but lucratif. Il peut notamment s’agir d’une association ou d’une fondation (bénéficiant ou non d’un agrément/ d’une reconnaissance de la FW-B). Les projets menés par plusieurs organismes actifs dans les secteurs de la FW-B, dont au moins deux dans des secteurs différents, seront prioritaires ;
  • Être transversaux à au moins deux secteurs de la FW-B ;
  • S’inscrire dans un de ces axes :
    • Garantir l’accessibilité des services de la FW-B et de l’offre des opérateurs partenaires aux personnes en situation de pauvreté ;
    • Prévenir les situations de vulnérabilité tout au long du parcours de vie des publics dans les compétences de la FW-B ;
    • Développer l’expertise de la FW-B en matière de lutte contre la pauvreté et de réduction des inégalités sociales ;
  • Bénéficier, directement ou indirectement, aux personnes en situation de pauvreté et/ou aux enfants et jeunes issus de familles en situation de pauvreté. Une attention particulière sera portée aux projets s’adressant aux familles monoparentales en situation de pauvreté ;
  • S’étendre sur une période de 9 mois minimum et de 12 mois maximum ;
  • Être réalise sur le territoire de la FW-B. La priorité sera accordée aux projets couvrant au moins un des dix bassins « enseignement qualifiant – formation – emploi » : Bruxelles, Brabant Wallon, Hainaut Centre, Hainaut-Sud, Huy-Waremme, Liège, Luxembourg, Namur, Verviers, Wallonie Picarde.

Montant du subside :
Le montant des subventions octroyées à chaque projet est fixé entre 10 000 euros et 50 000 euros maximum.

Calendrier :
Les demandes sont à effectuer du lundi 28 avril 2025 au mardi 10 juin 2025, à midi (12h).

Comment candidater ?
En ligne, via la plateforme SUBside.

En savoir plus…

  • Deux séances d’informations sont prévues le jeudi 15 mai 2025 à 10h00 et le lundi 26 mai 2025 à 10h00, en distanciel. Pour vous y inscrire, veuillez adresser votre demande par mail à l’adresse suivante : pauvrete@cfwb.be.
  • Retrouvez plus d’information sur le site de la FWB.

Appel à projet contre les discriminations et violences homo/bi/transphobes

La Fédération Wallonie-Bruxelles lance son cinquième appel à projets qui vise à soutenir directement le développement de projets portant sur la prévention des discriminations et des violences envers les personnes LGBTQI+. 

Conditions d’éligibilité :
Sont éligibles tout organisme public, association sans but lucratif (asbl) ou association momentanée (association de fait) œuvrant directement ou indirectement sur le terrain des droits des personnes LGBTQI+, de l’égalité des chances ou de la lutte contre les discriminations.

La priorité sera donnée aux projets qui développeront des propositions d’actions qui favorisent l’inclusion des personnes LGBTQIA+ les plus vulnérables et précarisées, à savoir : les femmes, les personnes trans, les jeunes, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les personnes sans chez-soi, les personnes racisées et les personnes issues de l’immigration.

Ces propositions d’actions devront répondre à des besoins identifiés dans des domaines qui relèvent des compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dont :

  • l’Enseignement (obligatoire et supérieur) ;
  • la Jeunesse ;
  • l’Aide à la jeunesse ;
  • les Sports ;
  • la Culture, les médias et l’audiovisuel ;
  • la Promotion de la santé ;
  • la Recherche scientifique dans un des établissements d’enseignement supérieur reconnus par la FWB (listés dans les articles 10, 11, 12 et 13 du décret du décret du 7 novembre 2013 définissant le paysage de l’enseignement supérieur et l’organisation académique des études) ;
  • la Promotion de la santé ;
  • l’Égalité des chances.

Montant du subside :
Le montant total réservé de cet appel est de 300 000€.

Calendrier :

  • 18 août 2025 (12h) : date limite de dépôts des projets.

Comment candidater ?
En ligne, via la plateforme SUBside munis des documents et pièces jointes requises.

En savoir plus…
Consultez le site de la FWB.


Appel à projet Fonds Ernest Solvay 2025

Le Fonds Ernest Solvay offre un soutien financier à des initiatives dans 3 domaines : l’éducation STEM, le progrès de la planète et une vie meilleure.

Conditions d’éligibilité :
Est éligible toute organisation mettant en œuvre un projet non commercial qui :

  • Contribue à promouvoir et à encourager le choix des études scientifiques/technologiques (STEM) chez les jeunes. Cela concerne les sciences (principalement la chimie, la physique et les sciences de la terre), la technologie, l’ingénierie et les mathématiques. L’éducation numérique est également incluse ;
  • Travaille sur la biodiversité, la transition énergétique, la pureté et la dépollution de l’eau ;
  • Veille à la sécurité physique, psychosociale et financière des communautés de Solvay. Les organisations qui présentent un projet doivent le mettre en œuvre dans un rayon de 100 km autour d’un site industriel de Solvay. Les sites administratifs et commerciaux ne sont pas éligibles.

Pour examiner votre éligibilité, veuillez consulter l’annexe aux critères de sélection.

Montant du subside :
Jusqu’à 10 000€.

Calendrier :
Le dossier doit être remis entre le 31 mars et le 30 septembre 2025.

Comment candidater ?
Connectez-vous à votre compte via https://candidate.kbs-frb.be/fr (ou créez-en un) et complétez le dossier en ligne.

En savoir plus…
Rendez-vous sur le site de la fondation Roi Baudoin (n’oubliez pas d’y consulter tous les critères de sélection).

Classé sous :Actualité Balisé avec :Appels à projets, Fédération des Organisations de Jeunesse libérales, Fédération Wallonie-Bruxelles, Jeunes & Libres, Organisation de Jeunesse

Appels à projets en cours au sein du secteur Jeunesse (maj 03/07/2024)

14 juin 2024 by jetl

Ci-dessous, vous trouverez plusieurs appels à projets s’adressant aux organisations de jeunesse.

Appel à projet « Meet and Code 2024 » 

Meet and Code est une initiative citoyenne sur l’éducation numérique en Europe alignée sur la Semaine européenne du code (Code Week). Grâce à la diversité et à l’inclusion, Meet and Code vise à réduire la fracture numérique à travers l’Europe en rendant l’apprentissage des compétences numériques accessibles et inclusifs pour tous.

Une ASBL peut soumettre jusqu’à trois projets différents, projets qui doivent prendre la forme d’un événement organisé entre 17 juin et le 31 octobre 2024 et qui doivent s’articuler autour des compétences numériques. Chaque événement accepté se voit financé à hauteur de 500€.

Les événements possibles incluent des hackathons, des ateliers, des événements cinématographiques, des concours, des soirées et des cours – plus c’est créatif, mieux c’est. Assurez-vous simplement que chaque évènement soit aligné sur la EU Code Week et axé sur le développement des compétences numériques.

Critères importants :

  • Le projet d’événement vise à inspirer et à initier les jeunes au monde de la technologie et du code. Chaque événement doit s’articuler autour des compétences numériques (code, robotique, IA, etc).
  • L’évènement doit se tenir entre le 17 juin 2024 et le 31 octobre 2024.
  • La cible de l’évènement doit être des enfants et des jeunes (de 8 à 24 ans).
  • Chaque événement doit accueillir un minimum de 20 enfants et jeunes. Cette année, le focus porte sur des projets axés sur les enfants et les jeunes issus de milieux défavorisés et sous-représentés dans le but de les inclure davantage.
  • La participation à l’évènement Meet and Code doit être gratuite.
  • L’événement doit durer au moins 240 minutes. Cette durée totale peut avoir lieu en une seule séance, ou être répartie entre plusieurs sessions
  • Les événements doivent être initiés, gérés et dirigés par l’organisation sans but lucratif candidate elle-même. L’association candidate est responsable de tout ce qui se passe pendant la planification, l’organisation, le déroulement et le suivi du projet.
  • Les fonds ne sont versés qu’à des organisations caritatives capables de prouver leur statut d’organisation à but non lucratif. La preuve doit être apportée lors du processus de validation effectué par le partenaire du réseau TechSoup Europe dans le pays de l’organisation candidate.
  • Les événements peuvent avoir lieu en présentiel, à distance ou sur un format hybride.

Comment candidater ?

  1. Créer un compte pour votre ASBL sur site web https://meet-and-code.org/be/fr/registration-info
    1. Activer le jeton de validation
    1. Compléter le profil de votre organisation sur le site web
    1. Soumettre un ou plusieurs événements (max. 3), en veillant à fournir une description détaillée, des coordonnées valides et une image qui représente l’événement.

Calendrier

  • L’événement doit être soumis entre le 22 mai et le  30 septembre 2024.
  • L’événement doit avoir lieu entre le 17 juin et le 31 octobre 2024.
  • Après quatre semaines, le représentant de l’organisation est informé par e-mail du statut de financement du projet. Si votre projet n’est pas retenu, vous serez également notifier du refus. L’association peut soumettre à nouveau l’idée une fois qu’elle a été retravaillée. Si elle est à nouveau refusée, l’idée ne peut plus être soumise.

En savoir plus…

  • https://www.socialware.be/blog/meet-and-code-2024-ouverture-des-inscriptions-le-22-mai-preparez-vous?language=fr&utm_source=CleverReach&utm_medium=email&utm_campaign=BEFR+JUIN24&utm_content=Mailing_15380257 : vous y trouverez notamment les critères d’exclusions pour les candidatures, les conditions d’utilisation du financement obtenu et les engagements à respecter suite à la validation d’un événement et la réception d’un financement

Appels à projets dans le cadre du décret du 13 mars 2009 relatif à la transmission de la mémoire des crimes de génocide, des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et des faits de résistance ou des mouvements ayant résisté aux régimes qui ont suscité ces crimes

Trois types d’appel à projet :

  • un appel à projets visant à recueillir, à valoriser, à exploiter ou à préserver des témoignages
  • un appel à projets visant à organiser des visites de lieux de mémoire et des séminaires à destination des enseignants
  • un appel à projets en lien avec l’objet du décret à l’exclusion des projets visés par les deux appels à projets précités : exposition, représentation théâtrale, production audiovisuelle, production écrite, activités de sensibilisation et d’information, etc.

Qui peut rentrer un projet ?

  • Des personnes morales sans but lucratif, dont le siège se situe en FWB
  • Des établissements scolaires organisés ou subventionnés par la FWB

Critères importants :

  • Le projet doit poursuivre un objectif pédagogique ou un objectif d’information et de sensibilisation
  • Il doit être mené en collaboration avec des personnes spécialistes du sujet traité et/ou en partenariat avec d’autres personnes morales et institutions 
  • Il doit être accompagné d’une mise en contexte historique
  • Il doit faire partie intégrante des axes d’actions de l’asbl
  • Dans le cadre d’une visite (2ème appel), le projet doit faire l’objet d’une réflexion interactive et être suivi d’une exploitation pédagogique
  • Dans le cadre d’un séminaire (2ème appel), le projet doit poursuivre un objectif de formation à destination des enseignants en formation initiale et continue
  • Dans le cadre du 3ème appel, il faudra montrer l’intérêt pédagogique du projet

Comment candidater ?

Exclusivement en ligne ! Un lien vers la plateforme « SUBside » sera disponible, dès le 16 août, sur les sites www.decretmemoire.cfwb et www.democratieoubarbarie.cfwb.be

Calendrier

  • L’appel à projets est ouvert du 16 août au 30 septembre 2024
  • Le Gouvernement rendra son avis au plus tard le 20 janvier 2025
  • Les projets doivent être clôturés au plus tard le 30 septembre 2025

En savoir plus…

  • www.decretmemoire.cfwb.be
  • www.democratieoubarbarie.cfwb.be
  • Le cahier des charges est disponible à l’adresse : http://www.democratieoubarbarie.cfwb.be/index.php?eID=tx_nawsecuredl&u=0&g=0&hash=238576ac3b85ea5bbb6f1b916b18516478a67e1b&file=fileadmin/sites/dob/upload/dob_super_editor/dob_editor/actu/Cahiers_des_charges_Appels_a_projets_2024_art._15_16_17.pdf
  • Le décret du 13 mars 2019 : https://etaamb.openjustice.be/fr/decret-du-13-mars-2009_n2009029189.html

Fonds Houtman

Le Fonds Houtman lance un appel à candidature pour participer au Prix du même nom, pour des courts-métrages réalisés directement par des groupes d’enfants et/ou d’adolescents, soutenus dans leur démarche par des acteurs de terrain, comme nos OJ.

Le sujet, « Ce que nous voulons dire au monde, avec nos smartphones », permettra à ces jeunes d’exprimer leur vision du monde et de transmettre les messages qui comptent pour eux.

Les conditions de participation et critères techniques à respecter sont à retrouver sur le site https://www.fonds-houtman.be/prix-herman-houtman-2024-appel-a-candidatures/

Le court-métrage (maximum 15 minutes) et le dossier de candidature doivent être renvoyés au Fonds au plus tard le lundi 4 novembre 2024. Les Prix seront annoncés et remis lors d’une cérémonie officielle le 23 avril 2025.

Le montant du Prix devra être consacré à la poursuite des actions menées avec les enfants et/ou les adolescents, autant que possible en lien avec les sujets mis en avant par eux et abordés dans les courts-métrages récompensés.

Attention, il ne s’agit donc pas de financer la réalisation du court-métrage !

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En bref – mai 2024

15 mai 2024 by jetl

🎨  Des stages créatifs pour le bonheur des petits et grands

Au fil du temps, Délipro Jeunesse s’est fait un nom dans l’organisation et l’animation de stages accessibles aux enfants âgés de trois à douze ans. Chaque année, l’association organise ainsi pas moins de huit stages créatifs ! À l’heure où se profilent déjà les grandes vacances, Sandrine, animatrice au sein de l’OJ, nous en dit un peu plus sur l’organisation de ces stages.


🎂   Joyeux anniversaire « Moules Frites » !

La chaine digitale « Moules Frites », créée par O’YES et consacrée au bien-être et à la sexualité, a fêté en février dernier ses trois ans d’existence. L’occasion de faire le point sur les six saisons écoulées et de mettre en lumière la septième série de vidéos et podcasts prévus. Le Libre² revient aussi sur la soirée stand-up organisée pour l’anniversaire de la chaîne, le 15 février dernier.


Berlin Calling

Après Rome et Oslo, les membres de la Fédération des Etudiants Libéraux sont récemment partis à la découverte de Berlin, capitale de la première puissance économique et politique d’Europe ! Le Libre² retrace ce voyage riche en découvertes culturelles, activités variées et rencontres politiques. Une belle occasion, pour les étudiants, d’appréhender davantage les défis actuels et à venir !


🚗  Les RYD sensibilisent les membres des clubs sportifs bruxellois

Déjà présents dans les écoles, à la sortie des discothèques ou encore dans les festivals, les Responsible Young Drivers (RYD), soutenus par Bruxelles Mobilité, souhaitent à présent sensibiliser un nouveau public aux dangers de la conduite sous influence de l’alcool ou des drogues, à savoir les membres et supporters des clubs sportifs bruxellois. Découvrez cette belle initiative, en détails, dans le Libre².


👏  La direction des Jeunes Mutualistes Libéraux change !

Benjamin Cocriamont, ancien Secrétaire général de la Fédération des Etudiants Libéraux et coordinateur sortant de Jeunes & Libres, a récemment pris les rênes des Jeunes Mutualistes Libéraux. Pour le Libre², il revient sur les huit années passées à la tête de Jeunes & Libres et les enjeux et projets qui l’occuperont désormais avec la dynamique équipe des JML ! 


🗳️1.000.000 de primo-votants

Le 9 juin prochain, un million de jeunes Belges voteront pour la 1ère fois ! Deux-cent-soixante-huit-mille d’entre eux ont entre seize et dix-huit ans. Jusqu’à présent, jamais des jeunes de cet âge n’avaient pris part à un scrutin en Belgique. Pour les aider, les Jeunes MR ont récemment édité une brochure. Intitulée « La 1ère fois « , sa forme rappelle l’univers du manga.


🎂  ReForm a soufflé ses cinquante bougies ! 

L’organisation de jeunesse ReForm fête cette année son cinquantième anniversaire. À cette occasion, quelques deux-cents personnes ont pris part à un diner-spectacle organisé pour célébrer cinquante années de passion, d’engagement et d’inspiration au profit des jeunes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Revivez cette belle soirée, placée sous le signe de la jeunesse et de la création artistique, avec le Libre² !


🎙️  À la rencontre de Françoise, nouvelle coordinatrice de la Besace

Le 01 mars dernier, l’ASBL Besace a accueilli sa nouvelle coordinatrice, Françoise Tesser. Le Libre² vous propose de faire plus ample connaissance avec cette ancienne institutrice, passionnée par diverses expressions artistiques et très motivée à l’idée de former des CRACS avec ses équipes de Liège et Bruxelles. L’occasion aussi de lever le voile sur les prochaines activités de l’ASBL Besace !


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What’s next? – Épisode 5 : Ömer

9 avril 2024 by jetl

C’est le retour de notre série « What’s next ? » consacrée à d’anciens travailleurs ou bénévoles qui ont marqué nos OJ. Pour le 5e épisode, nous avons retrouvé Ömer, ancien président de la Fédération des Etudiants Libéraux.

Classé sous :Actualité Balisé avec :Etudiant, Fédération des Organisations de Jeunesse libérales, Fédération Wallonie-Bruxelles, Jeunes, Jeunes & Libres, Jeunesse, Organisation de Jeunesse, Secteur Jeunesse, Vidéo

À la rencontre de Sabrina, détachée pédagogique des Jeunes MR

18 mars 2024 by jetl

Sabrina, détachée pédagogique des Jeunes MR, passe devant la caméra de Jeunes & Libres pour vous faire découvrir son rôle au sein de l’OJ ainsi que la plateforme Apprentis Citoyens, organisatrice de débats politiques au sein des écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles/Officiel

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« Il n’y pas d’approche holistique du jeune »

5 mars 2024 by jetl

Gilles Agosti n’est pas un inconnu à Wavre. Le jeune infirmier et échevin de la commune est l’une des figures montantes de la nouvelle génération des libéraux, une nouvelle génération qui cherche constamment à rester à l’écoute de la jeunesse. Rencontre.

Jeunes & Libres : Pour les nombreux lecteurs qui ne sont pas Wavriens et Wavriennes, pourriez-vous leur en dire plus sur vous ?

Gilles Agosti : Je suis infirmier avec une spécialisation en urgence et soins intensifs, à l’Hopital Saint-Pierre, formation que j’ai complétée par un master à UCLouvain en santé publique, gestion et management des institutions. Depuis 2018, j’ai diminué drastiquement mon temps de travail tout en consacrant néanmoins l’équivalent d’une semaine par mois aux urgences et en prison.

En plus de mon activité professionnelle, mon engagement politique a démarré en 2012, après les élections communales. Dès le départ, la section wavrienne des Jeunes MR était très dynamique, nous avons réalisé beaucoup de projets et très vite, je me suis lancé dans une première campagne, en interne, en 2014 avec Lora Nivesse (ancienne présidente des Jeunes MR, NDLR) et Mathieu Bihet (ancien vice-président puis président des Jeunes MR, actuellement président de Jeunes & Libres, NDLR) dans un ticket pour la présidence nationale des Jeunes MR.

En 2018, j’ai eu cette opportunité d’intégrer la liste du bourgmestre de Wavre, tirée par Françoise Pigeolet, à la vingt-deuxième place. Grâce à une campagne de terrain, à un bon score personnel et à Françoise à qui je dois ma montée au Collège, j’ai été nommé échevin de l’économie (PME et industries), de l’emploi, des finances, de la jeunesse, des personnes à mobilité réduite, de la santé et du tourisme dès ma première participation électorale. Cela fut une véritable surprise pour moi.

J&L : Pourquoi vous êtes-vous engagé aux Jeunes MR ? Que représente le libéralisme pour vous ?

G. A. : Après énormément de lectures, de rencontres, d’échanges sur le libéralisme, l’évidence était là. Le libéralisme représente, pour moi, la meilleure des visions et des versions qu’on pouvait en faire de la politique parce qu’elle est centrée sur l’individu, sur la défense des droits individuels. La doctrine libérale prône des idées progressistes telles que la démocratie, le droit d’entreprendre, le droit et la protection de la propriété. J’assume être un véritable libéral social.

Mon engagement est venu assez rapidement après, car, comme beaucoup, j’avais envie d’être plus acteur que spectateur. J’avais des idées, j’avais de l’énergie pour les porter aussi et donc, je me suis lancé.

J&L : Quand on devient échevin aussi jeune, n’y a-t-il pas un moment où on se dit “c’est trop tôt, je ne suis pas prêt” ?

G. A. : J’ai eu beaucoup de craintes au moment où on m’a proposé l’échevinat, mais je me suis dit qu’il fallait y aller. Du fait du suffrage universel, des centaines de citoyens wavriens avaient voté et il fallait mettre en œuvre la confiance qu’ils avaient placée en moi. De plus, les six années d’expérience au sein des Jeunes MR ont été vraiment très riches, très porteuses de sens, de débats, d’idées. Cela a été une bonne “école” bien que les enjeux soient différents au niveau local, le poids des responsabilités n’étant pas le même non plus.

J&L : Quelle est la journée type d’un échevin ?

G. A. : Il n’y a pas vraiment de journée type, d’autant plus que le portefeuille comporte plusieurs matières. Le travail d’échevin est avant tout rythmé par énormément de rencontres, de rencontres de terrain, de réunions, mais aussi de temps de travail individuel. Il faut pouvoir réussir à en bloquer, même si ce n’est pas évident parce que l’agenda est toujours bousculé, mais il faut avoir du temps individuel justement pour travailler.

Je déteste la “réunionite aiguë”. Je suis quelqu’un de très pragmatique. J’aime quand les choses avancent. Mais la réalité d’une politique, c’est aussi pouvoir travailler avec une administration et donc il y a des temps de vie, de dossiers qu’on doit pouvoir respecter et des délais qu’on ne peut “compresser”.

J&L : Si vous deviez citer un projet dont la réalisation vous a particulièrement enthousiasmé, quel serait-il ?

G. A. : C’est une question très difficile.  Nous avons beaucoup de réalisations à notre actif, avec le Collège et les membres du personnel communal, beaucoup de très belles réalisations… Il y en a une dont je suis particulièrement fier et pour laquelle on ne nous “attendait” pas spécialement : l’organisation d’un très beau tournoi E-Sport à Wavre. Cette discipline mérite qu’on puisse lever le voile sur elle. Elle est encore trop souvent jugée avec des a priori.

Le projet comporte un tournoi d’E-Sport avec cent cinquante joueurs et six cents spectateurs, mais aussi des initiations, des conférences, des expositions, ainsi que les Belgian Games Awards. L’aspect “culture du genre” a également été traité. Pourquoi les femmes ne pourraient-elles pas jouer aux jeux vidéo ? Comment les inclure dans ces jeux vidéo, ainsi que les personnes porteuses d’un handicap ? Quel est le rôle du jeu vidéo ?

L’impact de ce projet dépasse Wavre et même le Brabant wallon. Les opérateurs e-sportifs de la fédération d’E-Sport connaissent maintenant notre projet. Et tout ça est parti d’un de mes engagements de campagne, que j’ai soufflé à l’oreille de mes collègues lors de la rédaction de notre déclaration de politique communale. Je pense que c’est rare, voire peut-être même exceptionnel dans une déclaration de politique communale, je ne connais pas d’autres villes qui l’avaient mis comme objectif politique en tant que tel. Nous, nous l’avons fait.

J&L : D’où vous est venue cette idée ?

G. A. : La problématique était : “Comment parler aux jeunes ?”. La réponse nous semblait évidente : avec un langage qu’ils connaissent. Force est de constater que ce n’est pas en faisant des après-midi de jeux de société qu’on va les attirer… Et je le dis parce que j’ai essayé avant. Ma réflexion n’est pas du tout péjorative. J’ai organisé cinq à dix après-midi de jeux de société les mercredis… pour deux personnes.

Je suis convaincu, aujourd’hui, qu’il n’y a pas d’approche holistique du jeune. Dès lors, comment pouvoir les approcher ? Comment pouvoir les sensibiliser ? Il faut maintenant parler un langage qu’ils connaissent, un langage qui leur est commun et le jeu vidéo parle à peu près tout le monde. Mais nous ne nous sommes pas seulement contentés d’organiser des “LAN” (compétitions de jeux vidéo multijoueurs, NDLR), mais nous l’avons fait de manière beaucoup plus intelligente comme je l’ai expliqué auparavant.

Toutefois, je ne sais pas encore si nous retenterons l’expérience en tant qu’organisateur. Bien que nous soyons poussés à le refaire évidemment avec les opérateurs, je suis persuadé que l’initiative doit venir du monde associatif, voire du privé et que la ville ne doit être que dans un rôle de soutien. Être à l’organisation est un travail lourd, chronophage pour nos équipes.

J&L : Dès lors, quels projets souhaiteriez-vous réaliser ou prolonger durant la prochaine législature si vous êtes reconduit ?

G. A. : Lorsque nous avons consulté les jeunes Wavriens et Wavriennes durant cette législature, une idée est ressortie : un skate park et un pump track (piste en boucle, constituée de bosses et de virages relevés, qui peut être utilisée avec différents équipements sportifs, dont les VTT ou les BMX, NDLR). Je pense que ce serait un des premiers dans la région, si le permis d’urbanisme est accepté. Il s’agira d’un gros chantier pour la commune. À ce titre d’ailleurs, nous organisons tous les mercredis après-midi, jusqu’en décembre, avec la cellule Jeunesse de la commune de Wavre, des Initiations au skate, au skateboard, au sport de glisse, que ce soit des cours théoriques, des cours pratiques, etc., un peu partout en ville.

En outre, j’ai été particulièrement attentif aux besoins des personnes porteuses de handicaps à Wavre. J’aimerais donc vraiment que cette ville soit de plus en plus inclusive et qu’à chaque fois que nous réalisons des aménagements, ces derniers soient adaptés aux personnes porteuses de handicaps et celles à mobilité réduite. Cette politique a été menée durant les six années passées et l’on pourrait se dire que six ans, c’est long pour une personne extérieure au projet, mais c’est court, voire très court, lorsqu’on réalise ce projet, lorsque l’on est à la manœuvre et qu’il faut passer par l’ensemble des structures administratives et légales.

J&L : Vous avez évoqué à plusieurs reprises la question de la jeunesse depuis le début de l’interview. Pourquoi avoir à cœur de développer une politique jeunesse au niveau local, sachant que cette politique fait partie des compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles, qui y alloue des moyens financiers plus importants que ceux d’une commune ?

G. A. : À force de rencontrer des jeunes, nous avons naturellement créé une politique de jeunesse participative, une politique “bottom up”, et c’est plus intéressant parce qu’aujourd’hui, nous posons des actions politiques qui, elles-mêmes, ont été définies par les jeunes… et  cela marche! Nous n’avons pas pour autant trouvé LA recette miracle, mais cela fonctionne puisque cette politique jeunesse répond aux attentes et aux besoins des jeunes de la commune.

Par rapport à la politique jeunesse de la FWB, je dirais que la force d’une politique jeunesse locale réside, comme toute politique décentralisée, dans sa capacité à agir directement en fonction des besoins locaux identifiés, car les besoins de la jeunesse wavrienne ne sont certainement pas les mêmes que ceux de la jeunesse montoise ou liégeoise, les réalités socio-économiques n’étant pas les mêmes.

Pour procéder à l’identification des besoins, plusieurs méthodes existent. Nous disposons d’un conseil communal des jeunes ainsi que d’un conseil communal des enfants, que nous avons, tous deux, redynamisés et pour lesquels nous avons investi des moyens humains. Nous avons également des contacts privilégiés avec des acteurs de terrain, tels que des AMO, des maisons de jeunes ou encore des mouvements de jeunesse, dont sept groupes locaux sont implantés sur notre commune. Cela représente des milliers de jeunes ! Lors de la première rencontre avec le “secteur jeunesse” local, nous avons reçu vingt participants. Aujourd’hui, ce n’est pas moins d’une centaine de participants qui se retrouvent pour discuter de thématiques qui vont de la santé mentale des jeunes, au problème des assuétudes ou encore de l’extrascolaire.

La participation des jeunes à la vie locale a également été renforcée par la mise en place de “Focus Jeunes” qui est un appel à projets pour les jeunes Wavriens et Wavriennes de 12 à 30 ans et qui permet de proposer une action concrète pour les jeunes à réaliser dans l’année. Les jeunes reçoivent un soutien financier pouvant aller jusqu’à 5.000 EUR, une visibilité et une médiatisation dans les médias et réseaux sociaux de la Ville en plus d’un accompagnement et d’un coaching par le Service de la Jeunesse de Wavre. Nous sommes néanmoins conscients que la charge “administrative” inhérente à un appel à projets peut freiner la motivation de certains jeunes, mais les jeunes doivent savoir que le dispositif existe et que nous sommes prêts à les accompagner.

J&L : Quelle posture doit adopter selon vous une commune vis-à-vis d’opérateurs jeunesse présents sur son territoire ?

G. A. : Les communes doivent jouer deux rôles : celui d’impulsion et celui d’accompagnement. Impulsion, car, parfois, il faut qu’il y ait un “gros moteur” qui puisse mettre en marche des projets ou des initiatives pour que d’autres suivent. Et très souvent, il faut un accompagnement pour les réaliser des ajustements nécessaires.

Mais jamais au grand jamais, il ne faut, en tant que commune, rentrer dans un projet ou tenter de mettre un projet en place qui ne parle pas à l’ensemble des acteurs de terrain, car il sera voué à l’échec. J’ai cité, en début d’interview, ce projet d’après-midi de jeux de société que j’ai mis en place au début de la législature. Ça n’a pas fonctionné, entre autres, car nous avons travaillé “en silo”, comme pour une politique de mobilité, de travaux ou d’aménagement du territoire bien que ces politiques nécessitent également de la concertation avec les acteurs locaux, mais ces politiques suscite “automatiquement” des réactions, des questionnements, des oppositions. Quand on tente de développer une politique locale de jeunesse, il faut être conscient que les jeunes vont rarement venir d’eux-mêmes toquer à la porte d’une administration communale en disant “qu’est-ce qui se passe pour les jeunes ici ?”.

Il faut dès lors se tourner vers les structures déjà établies. Ça a été à nous de nous implanter, de nous intégrer dans ce “microcosme” existant parce que les jeunes n’attendent pas pour se structurer entre eux.

J&L : Vous avez évoqué le conseil des jeunes de la ville de Wavre. Quel est son rôle et comment est-il composé ?

G. A. : Il ne faut pas être élu pour siéger au conseil des jeunes, ce sont uniquement des jeunes qui s’investissent sur base volontaire et qui nous contactent pour rejoindre ce conseil. Actuellement, douze à treize jeunes, de douze à dix-neuf ans y siègent. C’est un conseil très participatif et très actif.

Ce groupe est hyper motivé. Récemment, ils ont visité le Parlement wallon ainsi qu’une exposition sur les violences sexistes à Namur et cela, un samedi matin. Ce genre d’activités, ce sont les jeunes qui les définissent au travers d’un planning et d’une liste de thèmes et sujets qu’ils souhaitent aborder. Nous n’intervenons dans le processus, avec mon collaborateur jeunesse, qu’au moment de la réalisation du programme de l’année.

Parmi leurs réalisations, on peut citer l’aménagement d’un studio radio mobile grâce auquel ils réalisent énormément de micros-trottoirs qui offrent la possibilité de réellement faire remonter des informations directement des jeunes de la commune. De mon côté, je prends vraiment le temps de les écouter, d’échanger avec eux et, à mon tour, de remonter au sein du Collège communal leurs préoccupations.

J&L : Pour que cela marche, faut-il une politique volontariste de la part de l’édile en charge de la politique jeunesse ?

 G. A. : Le conseil des jeunes a été mis en place par mon prédécesseur et, soyons honnêtes, le conseil vivotait, n’était plus actif et ne se réunissait plus. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il n’y avait pas de “carotte”, de but, de soutien. Les jeunes ont besoin d’un ou de plusieurs objectifs, de voir le résultat de leur travail, du concret, des réalisations qui se mettent en place.

C’était une réelle volonté de ma part de les faire “travailler” de la manière la plus participative possible, d’être à leur écoute et d’éviter l’effet “pipeau”. Quand on s’engage à quelque chose, on le fait, sinon on ne s’engage à rien du tout. Le risque est qu’ils soient à nouveau déçus.

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