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Jeunes & Libres

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Fédération Wallonie-Bruxelles

16/17 sur 1RCF Belgique

14 juillet 2023 by jetl

Ce 13 juillet, Benjamin, coordinateur de Jeunes & Libres, était l’invité de l’émission 16/17 sur la radio 1RCF Belgique afin de présenter la fédération, ses membres ainsi que pour partager sa vision du secteur jeunesse. L’interview est à retrouver ci-dessous.

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« L’ascenseur social, ça part dès la petite enfance. »

10 juillet 2023 by jetl

Alors que la réforme du secteur de l’Accueil Temps Libre (ATL) commence à se dévoiler, Jeunes & Libres a décidé de vous présenter Violaine Herbaux. Échevine de l’enseignement, de la petite enfance et de l’accueil extrascolaire, elle est également conseillère santé à la présidence du Mouvement Réformateur et présidente du conseil d’administration de l’Office de la Naissance et de l’Enfance (ONE).

Son master en communication et information en poche, Violaine Herbaux s’est rapidement tournée vers le monde politique pour y démarrer sa carrière professionnelle, en tant que conseillère politique en matière de santé auprès de la présidence du Mouvement Réformateur. Son premier engagement au service de la collectivité a lieu en 2012, lorsqu’elle rejoint le conseil communal de Silly, commune rurale du Hainaut, dont elle devient échevine de l’enseignement, de la petite enfance et de l’accueil extrascolaire en 2017. Cette même année, elle fait son entrée au conseil d’administration de l’ONE, dont elle devient présidente en 2022.

Jeunes & Libres : Qu’est-ce que l’ONE? Quel est son champ d’action?

Violaine Herbaux : L’ONE est une organisation qui a plus de 100 ans d’existence et qui s’occupe principalement de l’accueil de la petite enfance, mais aussi, et surtout, et cela, on en parle moins, de la santé préventive chez les enfants. Et ce, depuis le suivi prénatal aux consultations pour enfants jusque 6 ans. L’ONE subventionne et coordonne également  ce qui relève de “l’extrascolaire”, tels queles écoles de devoirs et l’accueil temps libre dans les écoles. Enfin, il  existe toute une branche “SOS enfants” où l’on retrouve beaucoup de partenariats avec l’Aide à la jeunesse pour ce qui concerne les difficultés plus familiales, de précarité, de violence, etc.

Ces dernières années a été développée toute une série de soutien à ce qu’on appelle la parentalité, avec la mise en place, par exemple, de lieux de rencontre parents-enfants quand il y a des problèmes d’ordre familiaux. Ou encore de structures appelées “Espace parents dans la séparation”,. Qui accompagnent les parents rencontrant des difficultés dans leurs parentalités.

Tout cela se déroule sur tout le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

J&L : Quel est votre rôle en tant que présidente du conseil d’administration ?

V. H. : Il n’y a pas de description de fonction, c’est un peu comme un échevinat, on apprend dans la fonction. Je dirais que mon rôle est de m’assurer en premier lieu que le comité de direction fonctionne comme il le devrait, que chaque directeur puisse être en pleine possession de ses moyens pour développer et répondre à tout ce qui est repris et inscrit dans le contrat de gestion qui est la “feuille de route” de l’ONE définie par le Gouvernement de la FWB. Il comprend les différentes mesures et les différents projets à mener.

Une première difficulté pour moi a été de “m’imprégner” du contrat de gestion, car ce n’est pas moi qui l’ai négocié, mais mon prédécesseur, Thierry Wimmer.

Le second rôle, tout aussi important, est de représenter l’ONE dans différentes instances, dans des colloques, des conférences.

Enfin, j’essaie de faire le lien entre le conseil d’administration et le terrain pour que le CA soit au plus proche des réalités de terrain, du travail de nos collaborateurs. Je veux avoir le plus de contacts au sein de l’administration, au sein des travailleurs et d’y voir comment fonctionne l’ONE de l’intérieur, sans passer systématiquement par le comité directeur. Je considère que ce n’est pas sain de n’avoir qu’un seul interlocuteur et qu’un seul angle de vue. Bien entendu, il m’est impossible de connaître tout le monde

J&L : Aller sur le terrain, c’est aussi une manière de se former…

V. H. : Une matière que je connaissais moins au moment de ma prise de fonction c’était la santé préventive au sein de l’ONE. Je connaissais beaucoup plus la petite enfance et l’ATL de part mon mandat d’échevine même si, là aussi, il ne faut pas tout résumer à ça. Je suis donc allée à la rencontre de cinq équipes un peu partout dans les différentes provinces de Wallonie et en Région bruxelloise. Cinq est un petit échantillon, mais il s’agissait de situations différentes, en consultation prénatale, en consultation pour enfant, au sein d’un quartier urbain ou au sein d’un hôpital. J’ai pu y constater les difficultés, rencontrer les équipes, leur travail, leurs besoins, la façon d’améliorer le service, etc.

J’ai été heureuse de constater que cela se passait bien néanmoins, de rencontrer des personnes investies dans leurs missions et qui pouvaient réaliser leur travail.

J&L : Et vous, qu’est-ce qui vous motive à vous investir autant ?

V. H. : La lutte contre l’injustice, en particulier quand cela concerne des enfants qui par définition, eux, n’ont jamais rien demandé et se retrouvent à vivre dans des situations, malheureusement, de précarité compliquée.

Je vais donner un exemple qui m’a marqué. Il s’agit d’une visite de terrain que j’ai effectué du côté de Chimay, avec une équipe, dans le camping du Val d’Oise. J’y ai vu une réalité que je ne pensais pas découvrir en Belgique. . J’ai vu des enfants vivant avec leurs parents dans des campings, dans des caravanes qui font la taille d’une petite pièce. Toute la famille y dormait, dont un bébé de cinq jours, dans des conditions d’hygiène très compliquées. En hiver, les canalisations d’eau sautent et il n’y a donc pas d’eau courante Les enfants ont peu d’activités et restent de longues heures devant la télé…

Pour moi, l’ONE réalise de belles missions. Ce ne sont pas des solutions miracles qui résolvent toutes les situations, mais assurer la santé préventive, mettre à disposition des milieux d’accueil, etc. est très importants à mes yeux.

J&L : Est-ce que cela fait écho à ton engagement libéral ?

V. H. : Oui, tout à fait. J’étais présente la semaine passée à une conférence où je rappelais que si on veut, à un moment, rompre le schéma de la précarité, de la reproduction générationnelle de chômage, alors il faut sortir les enfants de ces environnements familiaux de précarité néfastes. Il y a plein d’études qui montrent combien un enfant a besoin qu’on lui parle pour son développement du langage, a besoin de pouvoir bouger pour sa psychomotricité, etc. Il faut pouvoir lui donner les meilleures chances. L’ONE apporte une pierre à l’édifice, c’est un levier pour essayer de faire en sorte que ces enfants puissent sortir des milieux précarisés. L’ascenseur social, ça part dès la petite enfance.

J&L : Un coup d’accélérateur a été mis à a réforme de l’Accueil Temps Libre récemment. Cette réforme concerne directement l’ONE. Que pensez-vous, en tant que présidente de son conseil d’administration, de cette réforme ?

V. H. : J’ai pris, comme vous, également connaissance de la note d’intention du Cabinet de la ministre Linard (ministre de tutelle de l’ATL, NDLR). Je la trouve trop peu ambitieuse pour ce que l’on peut espérer d’une réforme. Elle ne répond pas aux principaux besoins exprimés par les secteurs de l’ATL, qui ont justement publié une carte blanche et à la suite de laquelle la ministre a fait marche arrière sur sa réforme.

le cabinet a avancé vraiment très longtemps tout seul et a fait mine de concerter en rassemblant leurs différents groupes de travail. Je regrette que l’ONE n’ait pas été davantage entendue. Il y a d’ailleurs eu un sentiment général de la part des acteurs de ne pas être suffisamment entendus et des déceptions.

L’une des priorités pour l’ONE est de désigner, dans le cadre de l’ATL, des responsables de projets au sein des communes, de manière à mieux coordonner les équipes sur place et à créer une dynamique positive avec l’ensemble des institutions accueillantes de l’extrascolaire. Il faut également, si les budgets le permettent, créer une stabilité dans l’emploi pour organiser un accueil extrascolaire de qualité avec de vrais contrats de travail et non pas reposer autant sur le bénévolat. Il faut également soutenir la formation continue pour les travailleurs du secteur. Nous faisons face à des profils très variés et de formations inégales.

Pour finir, je suis convaincue que cette réforme-là doit être pensée en même temps que la révision des rythmes scolaires journaliers afin de rendre l’ATL véritablement complémentaire de l’école.

C’est ausside pouvoir renforcer les moyens des écoles des devoirs pour qu’elles puissent accomplir l’ensemble de leurs missions. Elles peuvent clairement apporter un plus aux études dirigées en apportant leur dimension socioculturelle que les études n’ont pas et ainsi renforcer les objectifs de l’école dans toute sa dimension sociale, d’activités ludiques, etc. Il y aurait un compromis à trouver entre les parties, bien entendu.

J&L : Votre mandat d’échevine constitue un autre engagement important de votre part. Qu’est-ce que représentent des matières aussi importantes que l’enseignement, la petite enfance et l’accueil extrascolaire pour une commune rurale comme Silly ?

V. H. : Silly compte 8.500 habitants, six écoles communales dont une pratique l’immersion linguistique néerlandaise, une école libre, deux crèches communales et un service d’accueillante d’enfants. Cela représente une part importante de notre budget communal, d’autant plus que cela représente aussi une organisation logistique non négligeable. Nous devons également réaliser des investissements dans les infrastructures scolaires, d’accueil et sportives.

C’est toujours un challenge d’avoir suffisamment d’élèves, dans une commune comme Silly, pour ouvrir six écoles avec des sections maternelles et primaires. C’est un challenge d’autant plus qu’il y a une dénatalité, une diminution de la natalité d’environ 10% dans les communes depuis de nombreuses années.

Pour répondre à ce challenge, nous devons aussi trouver des projets pédagogiques qui font la différence. Voici la raison pour laquelle nous avons lancé l’immersion en néerlandais, que nous développons aussi tout doucement dans une de nos écoles des pédagogies dites actives et favorisons « l’école du dehors ».  La commune a également investi dans un bus communal de manière à pouvoir véhiculer facilement les élèves pour les sorties à la piscine, à la salle de sport, pour les sorties culturelles et ludiques.

Ces investissements nous servent en plus à être davantage attractifs que les communes voisines et en particulier, l’enseignement néerlandophone, car nous sommes proches de la frontière linguistique. Mais ils permettent également de faire vivre, d’une certaine manière, notre communale rurale en y « conservant » une population jeune. Ainsi, nous disposons d’un taux de couverture pour la petite enfance de 48%, au lieu des 35% de moyenne (48 places d’accueil pour 100 enfants en bas âge, NDLR).

J&L : Estimez-vous rencontrer davantage « d’obstacles » dans une commune rurale par rapport à une commune urbaine ?

V. H. : Je ne parlerais pas d’obstacles, mais, en effet, nous faisons face à une difficulté qui est la mobilité pour sortir de notre commune. C’est la raison pour laquelle nous disposons d’un bus communal. Nous avons également développé un service d’accueil centralisé pour l’accueil extra-scolaire du mercredi après-midi. Il s’agit du projet « Récréakid’s » qui rassemble, grâce au bus communal, les élèves des 6 implantations sur 2 implantations. Les activités proposées sont de cette manière plus variées et plus qualitatives.

Mais moi, je vois plus d’atouts que de difficultés. Nous avons un cadre et un environnement de qualité, luxuriant, qui peut être mis au service du développement des enfants. Nous pouvons leur faire découvrir la faune et la flore, notre patrimoine, nos producteurs locaux, etc.

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À la rencontre de Diego, président de la FEL

27 juin 2023 by jetl

D’ici quelques jours, la Fédération des Étudiants Libéraux aura officiellement un nouveau président. Rencontre avec Diego, prêt à se lancer dans sa nouvelle fonction. Jeunes & Libres tient à remercier Ömer, président sortant, pour son implication et son enthousiasme indéfectibles durant les deux années qui viennent de s’écouler, notamment au sein de notre conseil d’administration.

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À un an d’un vote historique

9 juin 2023 by jetl

Les prochaines élections du Parlement européen auront lieu le 9 juin 2024, soit dans un an jour pour jour. Pour ces élections, la Belgique marque un grand coup en donnant la possibilité aux jeunes de 16 et 17 ans d’y participer grâce à une loi votée le 1er juin 2022.

L’âge légal pour le droit de vote aux élections européennes est donc passé à 16 ans au lieu de 18 ans. Depuis le 1er mai 2023, date de la mise en application de la loi votée l’année dernière, ce sont pas moins de 280.000 jeunes belges qui ont l’opportunité de faire entendre leur voix au niveau européen l’année prochaine.

Sophie Wilmès, alors ministre des Affaires Étrangères au moment de l’accord du gouvernement, avait d’ailleurs déclaré : « C’était un engagement du gouvernement à sa formation, il est tenu. Aujourd’hui, nous donnons aux jeunes à partir de 16 ans la possibilité de prendre pleinement part au débat public européen. Il s’agit d’un premier pas formel vers la citoyenneté européenne. C’est fondamental, car l’UE règle des pans entiers de notre quotidien. Avec ma collègue Annelies Verlinden, nous portons ce projet qui est une avancée pour les jeunes, pour notre démocratie et pour le projet européen ».

La ministre de l’Intérieur CD&V, Annelies Verlinden, d’ajouter : « Les décisions prises à ce niveau de pouvoir portent souvent sur des sujets qui préoccupent les jeunes et qui ont un impact significatif sur leur avenir, tel que la mobilité ou le climat. C’est la raison pour laquelle il est intéressant de leur donner voix au chapitre pour ces questions ».

Pour Valérie Glatigny, ministre de la jeunesse, « L’abaissement de l’âge du droit de vote aux élections européennes vise à associer davantage encore les jeunes à la démocratie européenne. Nos jeunes veulent pouvoir être entendus sur les grands chantiers de ce siècle, que ce soit le défi climatique, l’intelligence artificielle ou encore la formation aux nouvelles technologies, pour ne citer que ceux-ci. Il est donc essentiel de les informer au mieux de ces enjeux. Jeunes & Libres y contribue avec brio par ses actions sur le terrain pour faire des jeunes des citoyens responsables, actifs, critiques et solidaires. »

En ce qui concerne les élections communales, provinciales, régionales, communautaires et législatives, l’âge légal reste 18 ans.

Pour autant, tous ces jeunes ne disposent pas de ce droit de manière automatique, au contraire des citoyens majeurs. En effet, les jeunes désireux de voter doivent s’inscrire au préalable sur une plateforme en ligne ou via un formulaire à compléter et à remettre à la commune. Ils peuvent également l’envoyer par courrier accompagné d’une copie de leur carte d’identité. Ce sera alors aux communes de traiter les demandes et d’inscrire les jeunes sur les listes électorales. Cette inscription n’est pas sans conséquence, car, dès lors que le jeune est inscrit, il est dans l’obligation de se rendre aux urnes et de voter.

En ce qui concerne la plateforme en ligne, les jeunes peuvent s’inscrire via le lien suivant : https://Inscription.elections.fgov.be. L’identification peut se faire par le biais de la carte eID ou avec l’application Itsme.

Pour participer aux élections, il faut néanmoins réunir 5 conditions, à savoir :

  • Posséder la nationalité d’un État membre de l’Union européenne ;
  • Avoir une résidence principale dans une commune belge ;
  • Ne pas être suspendu(e) de ses droits électoraux par une décision judiciaire ;
  • Avoir au moins 16 ans au moment du vote le 9 juin 2024 ;
  • Être inscrit sur la liste des électeurs.

Un citoyen européen qui réside en Belgique pourra donc participer aux élections et voter pour des candidats sur des listes belges.  Il en va de même pour les quelque 13 000 jeunes de nationalité belge, âgés de 16 et 17 ans et vivant à l’étranger.

Après Malte, l’Allemagne et l’Autriche, la Belgique devient le quatrième pays de l’Union européenne, à permettre aux jeunes de 16 et 17 ans de voter et de faire entendre leur voix aux élections du Parlement européen en 2024.


Qu’en pensent nos OJ ?

Nous avons demandé à la FEL et aux Jeunes MR ce qu’ils pensaient de cette nouvelle loi. Voici leurs réponses …

« Chez les Jeunes MR, nous pensons qu’avant que cette mesure ne puisse voir le jour, il faut d’abord intéresser et former nos jeunes, leur donner les clefs de compréhension du monde politique et de ces enjeux. Il faut former des CRACS (Citoyen Responsable, Actif, Critique et Solidaire), c’est d’ailleurs notre mission principale en tant qu’organisation de jeunesse politique.

Les Jeunes MR soutiennent également l’instauration d’un vrai « Cours de Citoyenneté » qui permettrait aux élèves de mieux comprendre comment fonctionne notre démocratie, d’aborder les différents courants politiques et religieux qui ont marqué notre Histoire.

Il est essentiel que les jeunes cultivent également leur curiosité et leur esprit critique.

Si tu veux plus de détails, tu trouveras tout ici : https://jeunesmr.be/2021/10/vote-a-16-ans-oui-mais/ ».

  • « Participation démocratique accrue – En permettant aux jeunes âgés de 16 et 17 ans de voter, cela favorise leur participation politique et aiguise leur engagement civique avant leur majorité. Cela peut encourager les jeunes à s’intéresser davantage aux affaires publiques et à exercer leurs droits démocratiques.
  • Plus forte représentativité des jeunes – L’abaissement de l’âge de vote garantit que les jeunes aient une voix directe dans le processus électoral. Cela permet de mieux prendre en compte leurs intérêts et leurs préoccupations dans la prise de décision politique, notamment en ce qui concerne les enjeux qui les touchent particulièrement.
  • Éducation civique renforcée – En autorisant les jeunes à voter plus tôt, cela peut encourager les établissements scolaires à renforcer l’éducation civique et politique, ce qui contribue à former des citoyens plus informés et engagés.

… Mais aussi quelques réserves :

  • Maturité et expériences limitées – Certains critiques soutiennent que les jeunes de 16 ans peuvent ne pas avoir suffisamment de maturité et d’expérience pour prendre des décisions politiques éclairées. Ils pourraient être influencés par des opinions et des perceptions immatures ou encore manquer de compréhension approfondie des enjeux politiques. À charge de l’école et des organisations de jeunesse de former les jeunes à la complexité apparente que revêt la politique européenne de marché, de capitaux, de libre circulation ou encore d’intégration.
  • Influence parentale – À cet âge, les jeunes peuvent être plus susceptibles d’être influencés par les opinions politiques de leurs parents ou de leur entourage immédiat. Cela pourrait entraîner une forme de vote qui ne reflète pas nécessairement leur propre volonté ou compréhension. Cependant, est-ce bien l’apanage des jeunes ? À moins que cela ne concerne également les moins jeunes. »

Qu’en pense le LYMEC ?

La Jeunesse libérale européenne (LYMEC), dont sont membres les Jeunes MR et la FEL, qui promeut les valeurs libérales dans toute l’UE en tant qu’Organisation de Jeunesse du parti ALDE a également pris position sur cette nouvelle loi et nous en a fait part.

« Le LYMEC s’est positionné en faveur de l’abaissement du droit de vote à 16 ans pour les élections européennes depuis des années désormais. D’ailleurs, l’organisation a fait campagne sur cette thématique lors de l’année européenne de la jeunesse en 2022 comme une des demandes aux politiciens européens et nationaux. Nous avons donc été contents d’entendre que la Belgique mettait pour la première fois cette mesure en place pour les élections de juin 2024 rejoignant ainsi deux autres pays européens : Malte et Autriche.

Nous mettons en avant les arguments suivants pour l’abaissement à 16 ans :

  • les jeunes de 16 ans dans la plupart des pays européens sont déjà très responsables, connectés et conscients de leur choix politique, ils s’expriment déjà politiquement via d’autres moyens;
  • la participation des jeunes dans les élections européennes augmente constamment d’une élection à l’autre;
  • en abaissant la limite, nous donnons une chance à une société plus représentative, augmentant la qualité des décisions prises en renforçant l’implication des jeunes ;
  • à 16 ans dans plusieurs pays, il y a des responsabilités pénales, mais également financières qui existent, sans pour autant pouvoir décider sur ces sujets qui impactent leur vie au quotidien.

Nous proposons donc :

  • d’abaisser l’âge légal pour pouvoir voter aux élections européennes à 16 ans dans tous les États membres de l’Union européenne (soutenant la dernière résolution du parlement européen adopté à ce sujet) ;
  • de promouvoir les programmes qui renforcent l’identité commune européenne et surtout l’éducation à l’Europe pour préparer les jeunes au mieux à l’exercice de leur droit de vote à partir de 16 ans et éviter ainsi d’être une proie facile pour les eurosceptiques et les populistes. »

Vous pouvez retrouver la résolution du LYMEC à ce sujet en anglais ainsi que les sources qui y sont associées ci-dessous :

« Resolution on lowering the voting age to 16 in European Parliament elections.

Noting that :

  • Citizens’ involvement in the governance of the state is the key feature of democracy. In most of the European Union (EU) Member States, the highest sovereignty is exercised through the election of political representatives or the participation in direct democracy procedures such as referendums or participatory budgets.
  • Under the current legislation of each EU Member State, all citizens of the state have the right to vote in European Parliament elections from the age of 18 (except Greece, Malta, and Austria), but young people still tend to vote less than other population segments, expressing their views and civic engagement through alternative procedures than that of participatory democracy, being their preferences thus less represented in traditional democratic institutions [1].
  • Even though participation in the 2019 European Parliament elections increased compared with 2014 elections (from 42,6% to 50.6%) it is still low in some of the EU Member States [2]. In addition to this, young people’s participation in European elections are constantly increasing. 42% of young people from age 16 to 24 voted in 2019 European Parliament elections, while in 2014 elections only 28% [3] voted.
  • Demographic trends in the EU show a decline in the number of young people from age 15 to 29 [4]. According to the data of Eurostat, young people made up 17,4% of the EU population in 2016, compared with 21.5 percent in 1996[5]. It is particularly important to ensure that the needs of young people are properly represented, while facing challenges of the aging population.
  • European Parliament in 2015 adopted the resolution 2015/2035(INL) on reforming electoral law [6]. One of the suggestions was that EU Member States should consider ways to harmonise the minimum age of voters at 16, in order to further enhance electoral equality among Union citizens.

Believes that :

  • By lowering the voting age to 16 years old in the European Parliament elections, young people would gain a stronger voice in the policy-making processes. This would partly offset the diminishing voice of young people in an aging society. Education, youth employment, social affairs, family policy would be given higher priority on the political agenda.
  • Young people nowadays have greater knowledge of society and are more informed than was the youth of previous generations due to the achievements of digitalisation and connected society, as well as the practically complete alphabetisation of the EU population and the promotion of critical thought in the education system. Nevertheless, lowering the voting age to 16 also needs to entail a greater and early educational focus on political education, democracy and critical discourse in order to ensure that everyone knows what their rights are and how to exercise them.
  • 16-17 year olds already have a lot of responsibilities in society : they can partially work and pay taxes, however, they cannot decide on how their paid taxes are distributed;
  • Young people from 16 years old can also be convicted in most of the EU Member States. However, young people below the age of 18 years are not allowed to vote at elections and thereby influence the decisions that have direct consequences for their everyday life ;
  • Lowering the voting age could contribute to the development of civic society and creating a voting habit. Studies have shown that political interest of 16 and 17-year-old Austrians have increased more than double after lowering the voting age (21,8% interviewees were very interested in politics in 2008, compared with 7.9% of interviewees in 2004) [7] ;
  • Another example shows that 16 year old Germans tend to vote more than standard-type voters [8].

Therefore LYMEC calls upon :

  • The EU to adopt draft legislative acts and legalize voting in European Parliament elections from the age of 16 years old in all EU Member States.
  • The EU to promote programs aimed at the strengthening of an EU common identity and training programs that spread knowledge among EU youth about the relevance and day-to-day functioning of the EU, so that they know why should they vote and they are less encouraged to support Eurosceptic parties.

Sources pour la rédaction de l’article

https://verlinden.belgium.be/fr/la-belgique-permet-%C3%A0-ses-jeunes-de-voter-aux-%C3%A9lections-europ%C3%A9ennes
https://www.rtbf.be/article/elections-europeennes-2024-les-jeunes-de-16-et-17-ans-peuvent-sinscrire-en-ligne-des-ce-1er-mai-11190427
https://www.mr.be/les-jeunes-des-lage-de-seize-ans-auront-la-possibilite-de-voter-dans-le-cadre-des-elections-europeennes/

Sources pour le LYMEC

[1] 2019 European elections: National rules https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/ATAG/2018/623556/EPRS_ATA(2018)623556_EN.pdf
[2] Post-election survey 2019, p.20 – https://www.europarl.europa.eu/at-your-service/files/be-heard/eurobarometer/2019/post-election-survey-2019-complete-results/report/en-post-election-survey-2019-report.pdf
[3] Post-election survey 2019, p.22 – https://www.europarl.europa.eu/at-your-service/files/be-heard/eurobarometer/2019/post-election-survey-2019-complete-results/report/en-post-election-survey-2019-report.pdf
[4] Europe’s demographic challenge – https://ec.europa.eu/eurostat/statisticsexplained/index.php/Being_young_in_Europe_today__demographic_trends#Europe.27s_demographic_challenge
[5] Children and young people in the population, EU-28, 1 January 1996, 2006 and 2016 – https://ec.europa.eu/eurostat/statisticsexplained/index.php?title=File:Children_and_young_people_in_the_population,_EU28,_1_January_1996,_2006_and_2016_BYIE18.png
[6] Reform of the electoral law of the European Union, https://oeil.secure.europarl.europa.eu/oeil/popups/ficheprocedure.do?lang=en&reference=2015/2035(INL)
[7] Political interest among young Austrians before and after lowering voting age, p.10 – https://ecpr.eu/filestore/paperproposal/9e969392-9b14-4c34-b0e7-e23eeffbfb87.pdf
[8] German young people in polling booths, p.5 – www.cje.org/descargas/cje4965.pdf

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Appels à projets en cours au sein du secteur Jeunesse

7 juin 2023 by jetl

  • Appel à projets « Lutte contre la Cyberhaine en lien avec le racisme et la xénophobie » (FWB-Région bruxelloise-Région wallonne)
    • Il s’adresse, entre autres, aux associations sans but lucratif œuvrant directement ou indirectement sur la thématique de la lutte contre la cyberhaine en lien avec le racisme et la xénophobie.  Le siège social de l’organisme candidat devra être établi sur le territoire de la Région Wallonne, la Fédération Wallonie-Bruxelles ou la Région de Bruxelles-Capitale ou qui y exerce de manière régulière et principale des activités (plusieurs organismes peuvent déposer un projet commun si une convention déterminant les modalités de la collaboration est établie entre eux) ;
    • Il vise à soutenir le développement d’actions visant à lutter contre la cyberhaine en lien avec le racisme et la xénophobie ;
    • Les projets ont pour objectifs :
      • La lutte contre les discours de haine sur internet ;
      • L’information, la prévention et l’aide aux victimes (accompagnement des personnes victimes de discriminations dans leurs démarches ainsi que leurs proches et les témoins) ;
      • La formation des professionnel(le)(s) à la lutte contre la cyberhaine ;
      • La lutte contre la cyberhaine par des actions de sensibilisation ou d’éducation à destination du grand public ;
    • Les projets déposés peuvent présenter les modes d’actions suivants :
      • Projet-pilote ;
      • Actions de soutien aux victimes ;
      • Formations ; 
      • Animations ; 
      • Outils pédagogiques ; 
      • Outils de sensibilisation ;
      • Développement de plateformes d’informations (site internet…) ;
    • Montant du subside : 10.000€ à 40.000€ maximum par projet ;
    • Délai pour organiser les activités : dès le lendemain de la notification de l’attribution de la subvention jusqu’au 31 décembre 2024 au plus tard ;
    • Date limite de dépôt des dossiers : 7 août à 23h59 ;
    • Dépôt via Jotform : https://form.jotform.com/231242773426353 ;
    • URL : https://pci.cfwb.be/cyber-haine-cyberhaat/.

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En bref – Mai 2023

31 mai 2023 by jetl


🏆  La Vitrine de l’Artisan met les jeunes à l’honneur

Pour sa 17ème édition, le concours qui promeut l’artisanat belge se consacre uniquement aux jeunes de moins de 35 ans. Suite à la crise sanitaire, La Besace a souhaité donner un coup de pouce aux jeunes qui se lancent dans l’artisanat. Les 10 ambassadeurs belges, élus par un comité au mois de mars dernier, se retrouveront le jeudi 22 juin pour la remise des prix qui se déroulera à Namur. Vous pouvez dès à présent découvrir les 10 lauréats sur le site de La Vitrine de l’Artisan.


🏢  O’YES inaugure le centre CECSI

Le 13 avril dernier, les asbl O’YES et Épicentre inauguraient leur tout nouveau centre CECSI. Une soirée riche en émotions qui a débuté par le traditionnel discours de présentation de chaque ASBL et de CECSI. Par la suite, les invités ont assisté à un show drag haut en couleurs et en paillettes. Ouvert depuis janvier 2023, CECSI souhaite devenir un espace collaboratif et inter-associatif. L’objectif est de pouvoir en faire un lieu de référence à propos de thématiques inclusives en développant des outils ou encore en faisant la promotion de la santé et de soins.


🗳️Un congrès à valeur participative

Le 13 mai, les Jeunes MR organisaient leur congrès au siège social du Mouvement Réformateur, à Saint Gilles. Ce congrès n’était placé sous le signe d’aucune thématique ; il se voulait ouvert à toutes les motions et propositions. Les Jeunes MR ont rédigé les motions en amont qui ont ensuite été validées par l’équipe. Les membres ont ainsi pu présenter et défendre leurs motions devant l’ensemble du congrès et espérer obtenir deux tiers des voix afin qu’elles puissent être adoptées et rassemblées dans un mémorandum.


🛖 Une semaine “cabane” avec ReForm

Lors des congés de détente, l’antenne bruxelloise de ReForm organisait le stage “Ho eau la jolie cabane”. Cette semaine, très créative, était l’occasion pour les jeunes de construire des cabanes à plusieurs endroits, avec différents matériaux mis à leur disposition. La journée du jeudi a été consacrée à la construction d’une cabane dans la forêt de Soignes avec pour seul matériel de la corde (et une paire de ciseaux !). Défi réussi pour les jeunes qui ont finalement construit deux cabanes. A la fin de la journée, ils ont pu y accrocher des drapeaux, fabriqués par leurs soins, qui représentaient une lutte qui leur tenait à cœur.


⛷️Se ressourcer et profiter avec les JML

Les congés de détente ont rimé avec “ski” pour une dizaine de Jeunes Mutualistes Libéraux. C’est dans les Domolites, à Moena plus précisément, qu’ils ont posé leurs valises. Durant le séjour, ils ont pu profiter de la neige au sein de la station de ski, encadrés par des moniteurs professionnels. Les jeunes ont également eu l’occasion de bénéficier de quelques moments de détente en profitant du paysage italien.


🇳🇴 La FEL à l’heure d’Oslo

A la mi-avril, l’équipe de la FEL ainsi qu’une douzaine de membres, toutes sections confondues, se sont envolés vers Oslo pour un city trip socioculturel. L’objectif de ce voyage était de découvrir la culture norvégienne et surtout de rencontrer les étudiants libéraux locaux. Ces derniers ont joué le rôle de guides du Parlement norvégien et ont eu l’opportunité de faire découvrir une séance plénière. Ce voyage a été une grande réussite et tous sont d’avis de réitérer l’expérience.


🎊  Les RYD présents dans les festivals cet été

Pour la deuxième fois et grâce au soutien de Bruxelles Mobilité, les RYD se rendront dans différents festivals bruxellois tout au long de l’été afin de mener des actions de sensibilisation sur la conduite sous influence. C’est lors de festivals tels que Couleur Café, les Nuits Botaniques ou encore lors de la Fête de la Musique qu’ils proposeront une animation avec leurs lunettes alcovision. Ce sera l’occasion de démontrer, une fois encore, les effets dévastateurs de l’alcool au volant et de responsabiliser les conducteurs.


🔞  Délipro Jeunesse au rayon X

Spécialisée dans l’éducation aux médias, Délipro Jeunesse conçoit des modules pédagogiques qu’elle propose dans les écoles. Son module, “l’image au rayon x”, aborde la pornographie de manière intelligente sans jamais montrer d’images douteuses. L’objectif est d’aider les jeunes à remettre en question les idées véhiculées par la pornographie. Ils sont alors outillés pour questionner ces représentations. L’animation offre un espace de dialogue autour d’un sujet tabou afin de développer un regard critique sur ce média.


🔚 Clap de fin pour le deuxième cycle des Journées des DP

La deuxième journée des détachés pédagogiques consacrée à l’initiation à l’assertivité se tiendra le jeudi 15 juin prochain dans les locaux de Jeunes & Libres. Ce sera l’occasion pour tous les DP membres de la Fédération de parfaire leurs connaissances sur le sujet et d’expérimenter différents outils concernant cette thématique.


🤝 Rencontre avec le groupe MR de la FWB

Le 23 mai, Benjamin et Mathieu, le président de J&L, ont rencontré et échangé avec les députés du groupe MR de la Fédération Wallonie-Bruxelles autour des enjeux du secteur jeunesse. Au programme, des discussions autour de la réforme des décrets jeunesse, de l’ATL, du maillage territorial des organisations de jeunesse et des perspectives pour 2024.


🪞 Coup d’œil dans le rétro

Découvrez sur notre espace membres, notre rapport d’activités 2022. Ce document vous permet de (re)découvrir l’ensemble des services et du soutien qu’apporte Jeunes & Libres à ses membres mais également de découvrir un large aperçu que joue votre fédération dans les différents organes de concertation sectorielle.


🧑‍🏫 Nouvelle journée des coordinateurs

Le jeudi 11 mai, les différentes directions des OJ de J&L se sont réunies pour échanger et travailler autour de la gestion. L’objectif était de s’outiller pour comprendre, prévenir et agir sur les éventuels conflits. Suite des échanges le 14 septembre.


📅 Rappel – Save the date !

Pour rappel, le 26 septembre aura lieu une journée d’échanges autour du plan quadriennal pour toutes les personnes travaillant de près ou de loin à la rédaction du P4. Le 14 décembre, nous organiserons une journée teambuilding pour toutes les équipes des OJ de Jeunes & Libres. Nous reviendrons vers vous en temps voulu.


🎙️ Rencontre avec Pierre-Yves Jeholet

Le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet, a confié à Jeunes & Libres sa vision de la Fédération, de la Culture et de la Jeunesse dans un long entretien à (re)découvrir sur notre site internet.


✍️  Nouvel accord du non-marchand signé

Le 28 avril, un nouvel accord du non marchand a été signé entre le Gouvernement de la FWB et les partenaires sociaux. Plus d’infos dans les semaines à venir sur l’impact que cela aura concrètement dans les gestion quotidienne de vos OJ. 


🎙️ Point presse

Le 28 avril, Jeunes & Libres, participait en compagnie de Sophie Keymolen, députée provinciale du Brabant wallon et de Sophie Nolf, Coordinatrice à la Coordination des Ecoles de Devoirs du Brabant wallon et de plusieurs jeunes à l’émission Freestyle de Radio 27 pour échanger sur la réforme des décrets Accueil Temps Libre. L’émission, animée par Caroline Forys, coordinatrice de l’antenne brabançonne de ReForm est à redécouvrir ici.
Pour la deuxième année consécutive, O’YES et le consortium d’hôpitaux wallons ont lancé une campagne de sensibilisation au dépistage du cancer du col de l’utérus en Fédération Wallonie-Bruxelles. 
Un jeu vidéo créé par des jeunes, est-ce possible ? Avec l’asbl ReForm oui ! Découvrez en plus sur ce beau projet dans cet article. 

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