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Jeunes & Libres

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APPELS À PROJETS EN COURS 2025

29 avril 2025 by jetl

maj 02 mai 2025

Ci-dessous, vous trouverez plusieurs appels à projets en cours. Ils s’adressent notamment aux organisations de jeunesse :

  • Appel à projet Éducation aux médias 🠒 06 juin 2025
  • Appel à projet contre la pauvreté et les inégalités sociales 🠒 10 juin 2025
  • Appel à projet contre les discriminations et violences homo/bi/transphobes 🠒 18 août 2025
  • Appel à projet Fonds Ernest Solvay 2025 🠒 30 septembre 2025

Appel à projet Éducation aux médias

Il a pour but de renforcer l’éducation aux médias auprès des jeunes et des professionnels qui les accompagnent.

Conditions d’éligibilité :
Deux types de projets seront soutenus :

  • Des projets participatifs de jeunes de 6 à 30 ans ;
  • Des formations pour les travailleurs de jeunesse.

Les projets sélectionnés devront répondre aux objectifs suivants : 

  • Former les jeunes à l’analyse critique de l’information ;
  • Sensibiliser aux mécanismes de manipulation en ligne et aux dangers des bulles de filtres ;
  • Équiper les professionnels avec des outils pédagogiques adaptés ;
  • Encourager la production de contenus responsables par les jeunes eux-mêmes via des projets participatifs ;
  • Sensibiliser les plateformes numériques à plus de transparence et de régulation sur la désinformation.

Les organisations éligibles sont :

  • Les centres de jeunes agréés ;
  • Les organisations de jeunesse agréées ;
  • Les groupes locaux de mouvement de jeunesse ou thématique ;
  • La fédération d’école de devoirs ou les coordinations d’école de devoirs agréées ;
  • Les groupements de jeunesse reconnus par le service de la jeunesse.

Montant du subside :
Les projets sélectionnés, limités à 1 par association, pourront bénéficier d’une bourse d’un montant maximal de 7.500€ par projet.

Calendrier :

  • 06 juin : date limite de dépôt des projets ;
  • 16 juin : décision de la Ministre ;
  • Du 16 juin au 31 décembre : période de réalisation ;
  • 30 mars : remise des justificatifs.   

Comment candidater ?
En ligne, via ce formulaire.

En savoir plus…
Consultez le site de la FWB.


Appel à projet contre la pauvreté et les inégalités sociales

Cet appel à projet transversal lancé par la Fédération Wallonie-Bruxelles soutient le développement de projets visant à lutter contre la pauvreté et à réduire les inégalités sociales dans les compétences et sur le territoire de la FW-B.

Conditions d’éligibilité :

  • Les projets doivent être introduits par une personne morale sans but lucratif. Il peut notamment s’agir d’une association ou d’une fondation (bénéficiant ou non d’un agrément/ d’une reconnaissance de la FW-B). Les projets menés par plusieurs organismes actifs dans les secteurs de la FW-B, dont au moins deux dans des secteurs différents, seront prioritaires ;
  • Être transversaux à au moins deux secteurs de la FW-B ;
  • S’inscrire dans un de ces axes :
    • Garantir l’accessibilité des services de la FW-B et de l’offre des opérateurs partenaires aux personnes en situation de pauvreté ;
    • Prévenir les situations de vulnérabilité tout au long du parcours de vie des publics dans les compétences de la FW-B ;
    • Développer l’expertise de la FW-B en matière de lutte contre la pauvreté et de réduction des inégalités sociales ;
  • Bénéficier, directement ou indirectement, aux personnes en situation de pauvreté et/ou aux enfants et jeunes issus de familles en situation de pauvreté. Une attention particulière sera portée aux projets s’adressant aux familles monoparentales en situation de pauvreté ;
  • S’étendre sur une période de 9 mois minimum et de 12 mois maximum ;
  • Être réalise sur le territoire de la FW-B. La priorité sera accordée aux projets couvrant au moins un des dix bassins « enseignement qualifiant – formation – emploi » : Bruxelles, Brabant Wallon, Hainaut Centre, Hainaut-Sud, Huy-Waremme, Liège, Luxembourg, Namur, Verviers, Wallonie Picarde.

Montant du subside :
Le montant des subventions octroyées à chaque projet est fixé entre 10 000 euros et 50 000 euros maximum.

Calendrier :
Les demandes sont à effectuer du lundi 28 avril 2025 au mardi 10 juin 2025, à midi (12h).

Comment candidater ?
En ligne, via la plateforme SUBside.

En savoir plus…

  • Deux séances d’informations sont prévues le jeudi 15 mai 2025 à 10h00 et le lundi 26 mai 2025 à 10h00, en distanciel. Pour vous y inscrire, veuillez adresser votre demande par mail à l’adresse suivante : pauvrete@cfwb.be.
  • Retrouvez plus d’information sur le site de la FWB.

Appel à projet contre les discriminations et violences homo/bi/transphobes

La Fédération Wallonie-Bruxelles lance son cinquième appel à projets qui vise à soutenir directement le développement de projets portant sur la prévention des discriminations et des violences envers les personnes LGBTQI+. 

Conditions d’éligibilité :
Sont éligibles tout organisme public, association sans but lucratif (asbl) ou association momentanée (association de fait) œuvrant directement ou indirectement sur le terrain des droits des personnes LGBTQI+, de l’égalité des chances ou de la lutte contre les discriminations.

La priorité sera donnée aux projets qui développeront des propositions d’actions qui favorisent l’inclusion des personnes LGBTQIA+ les plus vulnérables et précarisées, à savoir : les femmes, les personnes trans, les jeunes, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les personnes sans chez-soi, les personnes racisées et les personnes issues de l’immigration.

Ces propositions d’actions devront répondre à des besoins identifiés dans des domaines qui relèvent des compétences de la Fédération Wallonie-Bruxelles, dont :

  • l’Enseignement (obligatoire et supérieur) ;
  • la Jeunesse ;
  • l’Aide à la jeunesse ;
  • les Sports ;
  • la Culture, les médias et l’audiovisuel ;
  • la Promotion de la santé ;
  • la Recherche scientifique dans un des établissements d’enseignement supérieur reconnus par la FWB (listés dans les articles 10, 11, 12 et 13 du décret du décret du 7 novembre 2013 définissant le paysage de l’enseignement supérieur et l’organisation académique des études) ;
  • la Promotion de la santé ;
  • l’Égalité des chances.

Montant du subside :
Le montant total réservé de cet appel est de 300 000€.

Calendrier :

  • 18 août 2025 (12h) : date limite de dépôts des projets.

Comment candidater ?
En ligne, via la plateforme SUBside munis des documents et pièces jointes requises.

En savoir plus…
Consultez le site de la FWB.


Appel à projet Fonds Ernest Solvay 2025

Le Fonds Ernest Solvay offre un soutien financier à des initiatives dans 3 domaines : l’éducation STEM, le progrès de la planète et une vie meilleure.

Conditions d’éligibilité :
Est éligible toute organisation mettant en œuvre un projet non commercial qui :

  • Contribue à promouvoir et à encourager le choix des études scientifiques/technologiques (STEM) chez les jeunes. Cela concerne les sciences (principalement la chimie, la physique et les sciences de la terre), la technologie, l’ingénierie et les mathématiques. L’éducation numérique est également incluse ;
  • Travaille sur la biodiversité, la transition énergétique, la pureté et la dépollution de l’eau ;
  • Veille à la sécurité physique, psychosociale et financière des communautés de Solvay. Les organisations qui présentent un projet doivent le mettre en œuvre dans un rayon de 100 km autour d’un site industriel de Solvay. Les sites administratifs et commerciaux ne sont pas éligibles.

Pour examiner votre éligibilité, veuillez consulter l’annexe aux critères de sélection.

Montant du subside :
Jusqu’à 10 000€.

Calendrier :
Le dossier doit être remis entre le 31 mars et le 30 septembre 2025.

Comment candidater ?
Connectez-vous à votre compte via https://candidate.kbs-frb.be/fr (ou créez-en un) et complétez le dossier en ligne.

En savoir plus…
Rendez-vous sur le site de la fondation Roi Baudoin (n’oubliez pas d’y consulter tous les critères de sélection).

Classé sous :Actualité Balisé avec :Appels à projets, Fédération des Organisations de Jeunesse libérales, Fédération Wallonie-Bruxelles, Jeunes & Libres, Organisation de Jeunesse

Le 28e Libre² est en ligne

15 novembre 2024 by jetl

Le 28e numéro de notre magazine 𝘓𝘪𝘣𝘳𝘦² vient de paraitre ! Vous y trouverez un numéro spécial pour les 15 ans de Jeunes & Libres.

Ces derniers mois ont vu beaucoup de changements (certains encore en cours) au sein de l’équipe de Jeunes & Libres. L’édito du nouveau président, Benjamin Cocriamont, ainsi que l’interview de la nouvelle directrice de la Fédération, Pauline Bettonville, reviennent sur ces changements dans la première partie du Libre². En seconde partie, notre rédaction a interviewé nos huit organisations de jeunesse afin de présenter, à nouveau, leur association mais aussi de raconter les liens qui les unissent à Jeunes & Libres.

Vous y découvrirez donc la Besace, Délipro Jeunesse, la Fédération des Étudiants Libéraux, les Jeunes Mutualistes Libéraux, les Jeunes MR, O’YES, ReForm et les RYD Wallonie-Bruxelles probablement sous un autre jour.

Santé et, surtout, joyeux anniversaire Jeunes & Libres !

Classé sous :Actualité Balisé avec :Fédération Wallonie Bruxelles, Jeunes, Jeunes & Libres, Jeunes et Libres, Jeunesse, Libre², Organisation de Jeunesse, Secteur Jeunesse

Appels à projets en cours au sein du secteur Jeunesse (maj 03/07/2024)

14 juin 2024 by jetl

Ci-dessous, vous trouverez plusieurs appels à projets s’adressant aux organisations de jeunesse.

Appel à projet « Meet and Code 2024 » 

Meet and Code est une initiative citoyenne sur l’éducation numérique en Europe alignée sur la Semaine européenne du code (Code Week). Grâce à la diversité et à l’inclusion, Meet and Code vise à réduire la fracture numérique à travers l’Europe en rendant l’apprentissage des compétences numériques accessibles et inclusifs pour tous.

Une ASBL peut soumettre jusqu’à trois projets différents, projets qui doivent prendre la forme d’un événement organisé entre 17 juin et le 31 octobre 2024 et qui doivent s’articuler autour des compétences numériques. Chaque événement accepté se voit financé à hauteur de 500€.

Les événements possibles incluent des hackathons, des ateliers, des événements cinématographiques, des concours, des soirées et des cours – plus c’est créatif, mieux c’est. Assurez-vous simplement que chaque évènement soit aligné sur la EU Code Week et axé sur le développement des compétences numériques.

Critères importants :

  • Le projet d’événement vise à inspirer et à initier les jeunes au monde de la technologie et du code. Chaque événement doit s’articuler autour des compétences numériques (code, robotique, IA, etc).
  • L’évènement doit se tenir entre le 17 juin 2024 et le 31 octobre 2024.
  • La cible de l’évènement doit être des enfants et des jeunes (de 8 à 24 ans).
  • Chaque événement doit accueillir un minimum de 20 enfants et jeunes. Cette année, le focus porte sur des projets axés sur les enfants et les jeunes issus de milieux défavorisés et sous-représentés dans le but de les inclure davantage.
  • La participation à l’évènement Meet and Code doit être gratuite.
  • L’événement doit durer au moins 240 minutes. Cette durée totale peut avoir lieu en une seule séance, ou être répartie entre plusieurs sessions
  • Les événements doivent être initiés, gérés et dirigés par l’organisation sans but lucratif candidate elle-même. L’association candidate est responsable de tout ce qui se passe pendant la planification, l’organisation, le déroulement et le suivi du projet.
  • Les fonds ne sont versés qu’à des organisations caritatives capables de prouver leur statut d’organisation à but non lucratif. La preuve doit être apportée lors du processus de validation effectué par le partenaire du réseau TechSoup Europe dans le pays de l’organisation candidate.
  • Les événements peuvent avoir lieu en présentiel, à distance ou sur un format hybride.

Comment candidater ?

  1. Créer un compte pour votre ASBL sur site web https://meet-and-code.org/be/fr/registration-info
    1. Activer le jeton de validation
    1. Compléter le profil de votre organisation sur le site web
    1. Soumettre un ou plusieurs événements (max. 3), en veillant à fournir une description détaillée, des coordonnées valides et une image qui représente l’événement.

Calendrier

  • L’événement doit être soumis entre le 22 mai et le  30 septembre 2024.
  • L’événement doit avoir lieu entre le 17 juin et le 31 octobre 2024.
  • Après quatre semaines, le représentant de l’organisation est informé par e-mail du statut de financement du projet. Si votre projet n’est pas retenu, vous serez également notifier du refus. L’association peut soumettre à nouveau l’idée une fois qu’elle a été retravaillée. Si elle est à nouveau refusée, l’idée ne peut plus être soumise.

En savoir plus…

  • https://www.socialware.be/blog/meet-and-code-2024-ouverture-des-inscriptions-le-22-mai-preparez-vous?language=fr&utm_source=CleverReach&utm_medium=email&utm_campaign=BEFR+JUIN24&utm_content=Mailing_15380257 : vous y trouverez notamment les critères d’exclusions pour les candidatures, les conditions d’utilisation du financement obtenu et les engagements à respecter suite à la validation d’un événement et la réception d’un financement

Appels à projets dans le cadre du décret du 13 mars 2009 relatif à la transmission de la mémoire des crimes de génocide, des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et des faits de résistance ou des mouvements ayant résisté aux régimes qui ont suscité ces crimes

Trois types d’appel à projet :

  • un appel à projets visant à recueillir, à valoriser, à exploiter ou à préserver des témoignages
  • un appel à projets visant à organiser des visites de lieux de mémoire et des séminaires à destination des enseignants
  • un appel à projets en lien avec l’objet du décret à l’exclusion des projets visés par les deux appels à projets précités : exposition, représentation théâtrale, production audiovisuelle, production écrite, activités de sensibilisation et d’information, etc.

Qui peut rentrer un projet ?

  • Des personnes morales sans but lucratif, dont le siège se situe en FWB
  • Des établissements scolaires organisés ou subventionnés par la FWB

Critères importants :

  • Le projet doit poursuivre un objectif pédagogique ou un objectif d’information et de sensibilisation
  • Il doit être mené en collaboration avec des personnes spécialistes du sujet traité et/ou en partenariat avec d’autres personnes morales et institutions 
  • Il doit être accompagné d’une mise en contexte historique
  • Il doit faire partie intégrante des axes d’actions de l’asbl
  • Dans le cadre d’une visite (2ème appel), le projet doit faire l’objet d’une réflexion interactive et être suivi d’une exploitation pédagogique
  • Dans le cadre d’un séminaire (2ème appel), le projet doit poursuivre un objectif de formation à destination des enseignants en formation initiale et continue
  • Dans le cadre du 3ème appel, il faudra montrer l’intérêt pédagogique du projet

Comment candidater ?

Exclusivement en ligne ! Un lien vers la plateforme « SUBside » sera disponible, dès le 16 août, sur les sites www.decretmemoire.cfwb et www.democratieoubarbarie.cfwb.be

Calendrier

  • L’appel à projets est ouvert du 16 août au 30 septembre 2024
  • Le Gouvernement rendra son avis au plus tard le 20 janvier 2025
  • Les projets doivent être clôturés au plus tard le 30 septembre 2025

En savoir plus…

  • www.decretmemoire.cfwb.be
  • www.democratieoubarbarie.cfwb.be
  • Le cahier des charges est disponible à l’adresse : http://www.democratieoubarbarie.cfwb.be/index.php?eID=tx_nawsecuredl&u=0&g=0&hash=238576ac3b85ea5bbb6f1b916b18516478a67e1b&file=fileadmin/sites/dob/upload/dob_super_editor/dob_editor/actu/Cahiers_des_charges_Appels_a_projets_2024_art._15_16_17.pdf
  • Le décret du 13 mars 2019 : https://etaamb.openjustice.be/fr/decret-du-13-mars-2009_n2009029189.html

Fonds Houtman

Le Fonds Houtman lance un appel à candidature pour participer au Prix du même nom, pour des courts-métrages réalisés directement par des groupes d’enfants et/ou d’adolescents, soutenus dans leur démarche par des acteurs de terrain, comme nos OJ.

Le sujet, « Ce que nous voulons dire au monde, avec nos smartphones », permettra à ces jeunes d’exprimer leur vision du monde et de transmettre les messages qui comptent pour eux.

Les conditions de participation et critères techniques à respecter sont à retrouver sur le site https://www.fonds-houtman.be/prix-herman-houtman-2024-appel-a-candidatures/

Le court-métrage (maximum 15 minutes) et le dossier de candidature doivent être renvoyés au Fonds au plus tard le lundi 4 novembre 2024. Les Prix seront annoncés et remis lors d’une cérémonie officielle le 23 avril 2025.

Le montant du Prix devra être consacré à la poursuite des actions menées avec les enfants et/ou les adolescents, autant que possible en lien avec les sujets mis en avant par eux et abordés dans les courts-métrages récompensés.

Attention, il ne s’agit donc pas de financer la réalisation du court-métrage !

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En bref – mai 2024

15 mai 2024 by jetl

🎨  Des stages créatifs pour le bonheur des petits et grands

Au fil du temps, Délipro Jeunesse s’est fait un nom dans l’organisation et l’animation de stages accessibles aux enfants âgés de trois à douze ans. Chaque année, l’association organise ainsi pas moins de huit stages créatifs ! À l’heure où se profilent déjà les grandes vacances, Sandrine, animatrice au sein de l’OJ, nous en dit un peu plus sur l’organisation de ces stages.


🎂   Joyeux anniversaire « Moules Frites » !

La chaine digitale « Moules Frites », créée par O’YES et consacrée au bien-être et à la sexualité, a fêté en février dernier ses trois ans d’existence. L’occasion de faire le point sur les six saisons écoulées et de mettre en lumière la septième série de vidéos et podcasts prévus. Le Libre² revient aussi sur la soirée stand-up organisée pour l’anniversaire de la chaîne, le 15 février dernier.


Berlin Calling

Après Rome et Oslo, les membres de la Fédération des Etudiants Libéraux sont récemment partis à la découverte de Berlin, capitale de la première puissance économique et politique d’Europe ! Le Libre² retrace ce voyage riche en découvertes culturelles, activités variées et rencontres politiques. Une belle occasion, pour les étudiants, d’appréhender davantage les défis actuels et à venir !


🚗  Les RYD sensibilisent les membres des clubs sportifs bruxellois

Déjà présents dans les écoles, à la sortie des discothèques ou encore dans les festivals, les Responsible Young Drivers (RYD), soutenus par Bruxelles Mobilité, souhaitent à présent sensibiliser un nouveau public aux dangers de la conduite sous influence de l’alcool ou des drogues, à savoir les membres et supporters des clubs sportifs bruxellois. Découvrez cette belle initiative, en détails, dans le Libre².


👏  La direction des Jeunes Mutualistes Libéraux change !

Benjamin Cocriamont, ancien Secrétaire général de la Fédération des Etudiants Libéraux et coordinateur sortant de Jeunes & Libres, a récemment pris les rênes des Jeunes Mutualistes Libéraux. Pour le Libre², il revient sur les huit années passées à la tête de Jeunes & Libres et les enjeux et projets qui l’occuperont désormais avec la dynamique équipe des JML ! 


🗳️1.000.000 de primo-votants

Le 9 juin prochain, un million de jeunes Belges voteront pour la 1ère fois ! Deux-cent-soixante-huit-mille d’entre eux ont entre seize et dix-huit ans. Jusqu’à présent, jamais des jeunes de cet âge n’avaient pris part à un scrutin en Belgique. Pour les aider, les Jeunes MR ont récemment édité une brochure. Intitulée « La 1ère fois « , sa forme rappelle l’univers du manga.


🎂  ReForm a soufflé ses cinquante bougies ! 

L’organisation de jeunesse ReForm fête cette année son cinquantième anniversaire. À cette occasion, quelques deux-cents personnes ont pris part à un diner-spectacle organisé pour célébrer cinquante années de passion, d’engagement et d’inspiration au profit des jeunes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Revivez cette belle soirée, placée sous le signe de la jeunesse et de la création artistique, avec le Libre² !


🎙️  À la rencontre de Françoise, nouvelle coordinatrice de la Besace

Le 01 mars dernier, l’ASBL Besace a accueilli sa nouvelle coordinatrice, Françoise Tesser. Le Libre² vous propose de faire plus ample connaissance avec cette ancienne institutrice, passionnée par diverses expressions artistiques et très motivée à l’idée de former des CRACS avec ses équipes de Liège et Bruxelles. L’occasion aussi de lever le voile sur les prochaines activités de l’ASBL Besace !


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What’s next? – Épisode 5 : Ömer

9 avril 2024 by jetl

C’est le retour de notre série « What’s next ? » consacrée à d’anciens travailleurs ou bénévoles qui ont marqué nos OJ. Pour le 5e épisode, nous avons retrouvé Ömer, ancien président de la Fédération des Etudiants Libéraux.

Classé sous :Actualité Balisé avec :Etudiant, Fédération des Organisations de Jeunesse libérales, Fédération Wallonie-Bruxelles, Jeunes, Jeunes & Libres, Jeunesse, Organisation de Jeunesse, Secteur Jeunesse, Vidéo

« Il ne faut pas vouloir à tout prix un titre pour se faire valoir. Il faut mériter ce titre et assumer. »

15 décembre 2023 by jetl

On peut être jeune et assumer des responsabilités importantes. Audun Brouns en est un exemple. À seulement 27 ans, le jeune bassengeois est échevin de l’urbanisme, de l’aménagement des territoires, de la mobilité, de l’environnement, du monde associatif et folklorique et, enfin, du numérique de sa commune… en plus d’être chef de cabinet de l’échevin liégeois Gilles Forest et président de la fédération provinciale de Liège des Jeunes MR. Rencontre avec quelqu’un dont les journées sont souvent très longues.

Jeunes & Libres : Pourriez-vous revenir sur la genèse de votre engagement ? Comment avez-vous accédé à toutes ces responsabilités ?

Audun Brouns : Je voudrais en premier lieu vous remercier d’avoir sollicité une interview. Je suis actuellement échevin à la commune de Bassenge depuis les élections de 2018, j’ai un assez gros portefeuille, qui comprend l’urbanisme, l’aménagement du territoire, la mobilité, l’environnement, le patrimoine, le monde associatif et folklorique et le numérique. Cela constitue déjà une belle occupation…

Et depuis les élections internes d’octobre dernier, j’ai été élu président des Jeunes MR de la province de Liège. J’ai succédé à Victoria Vandeberg, avec qui j’avais déjà pu travailler précédemment puisque j’étais président de l’arrondissement de Liège ces deux années passées et donc son vice-président. J’ai aujourd’hui la lourde tâche de lui succéder.

Je suis également le chef de cabinet de Gilles Foret, échevin à la ville de Liège, dont les attributions concerne la transition écologique, la mobilité, la propreté et le numérique.

J&L : À propos de ce dernier poste, s’agit-il de votre première expérience professionnelle dans un cabinet ?

A. B. : Après mes études en sciences politiques à l’Université de Liège, j’ai commencé ma carrière chez Pierre-Yves Jeholet, juste après les élections de mai 2019, quand les gouvernements ont été formés au niveau régional et communautaire au mois de septembre. J’étais conseiller et m’occupais des questions relatives au numérique. J’ai beaucoup travaillé, notamment, sur l’accélération de la stratégie numérique pour l’éducation qui fut une expérience vraiment enrichissante et qui m’a permis de connaître ce monde des cabinets ministériels dans lequel j’ai travaillé deux ans avant de revenir à Liège et de devenir le chef de cabinet de Gilles Foret. En parallèle, j’ai obtenu un certificat universitaire en management des smart cities.

J&L : Comment s’est déroulée votre élection à la fédération provinciale des Jeunes MR ?

A. B. : J’étais le seul candidat à la fonction, ce qui, bien ce que l’on pourrait penser, ne rend pas toujours la tâche plus aisée, car c’est toujours plus simple, je trouve, de défendre ses idées par rapport à quelqu’un d’autre. Lorsque l’on est seul candidat, on n’a pas la même approche. Moi j’aime bien quand il y a de la vitalité démocratique et qu’on peut s’opposer, même au sein d’une grande famille où l’on est tous sur la même longueur d’onde. Cependant, nous avons toujours, chacun, ces petites aspérités et ces projets spécifiques.

Je suis, bien entendu, très heureux d’avoir pu être élu à ce niveau-là. J’ai évidemment envie de bien faire les choses au vu des échéances qui arrivent. Nous avons une belle jeunesse que nous devons mobiliser au mieux, la former au mieux aussi parce que ce n’est pas tout de s’engager dans une organisation de jeunesse politique. Il y a l’étape d’après pour certains, celles de l’engagement sur les listes, que ce soit au niveau local ou autre et je pense qu’il faut pouvoir donner les clés à toutes ces personnes. J’ai eu la chance de très tôt m’engager et donc d’avoir pu acquérir une certaine expérience au cours de ces cinq dernières années à différentes échelles, à différents niveaux et je veux vraiment pouvoir faire profiter de mon expérience à toutes celles et à tous ceux qui veulent participer à la campagne sur les listes. En particulier s’il d’agit de soutenir les candidats parce qu’il y a des codes qu’on doit pouvoir acquérir si on veut faire un pas dans le dans l’arène politique.

J&L : Être président des Jeunes MR de la Province de Liège signifie pour vous partager votre expérience avec les autres jeunes MR ou acquérir de l’expérience supplémentaire ?

A. B. : On apprend tous les jours et qu’importe la fonction ou le mandat ou le milieu (de son engagement, NDLR), qu’il soit celui d’une organisation de jeunesse politique ou du monde associatif de manière plus large. Et surtout, je crois qu’on apprend tout au long de sa vie. Tous les Jeunes MR de la Province de Liège ont beaucoup à m’apporter, ne fût-ce que par leur réalité locale que je ne connais évidemment pas sur l’ensemble du territoire de la province.

J&L : Pierre-Yves Jeholet ou David Weytsman ont déclaré dans de précédentes interviews qu’ils nous ont accordé qu’ils estimaient que les jeunes avaient et devaient avoir leur place sur futures listes électorales. Si on vous le proposait, seriez-vous partant ?

A. B. : J’ai eu la chance d’y participer en 2019, en tant que suppléant à la Région wallonne. Cela a été une magnifique expérience. Découvrir une campagne de ce niveau-là, de cette amplitude-là, cela a permis de me faire découvrir toute une série de personnes puisque c’est un grand moment aussi de fraternité, même s’il y a forcément des concurrences, qu’elles soient internes (au parti, NDLR) ou externes. En tant que « petit jeune », j’avais été extrêmement bien accueilli ! Je suis toujours évidemment jeune et je suis toujours à disposition de mon parti. J’ai à cœur de faire vivre le projet libéral, de le défendre et là où je peux être le plus utile, je n’hésiterai pas à y aller pour rendre le MR le plus fort possible, que ce soit dans l’arrondissement de Liège ou au niveau de sa province.

Évidemment, je pense que chaque chose doit se réaliser en son temps. J’ai eu la chance de devenir échevin dès ma première élection locale et j’ai envie de conserver cet ancrage, car j’aime beaucoup le niveau local et j’ai vraiment à cœur de continuer à m’impliquer à Bassenge, c’est ma priorité. Si je dois aller soutenir la liste ou si on compte sur moi pour d’autres fonctions, je serai ouvert à la discussion. Et si les leaders de notre parti nous font confiance, c’est évidemment toujours motivant et gratifiant.

J&L : Quelles sont les thématiques qui vous sont chères et qui vous paraissent importantes à défendre en tant que jeunes en 2024 ?

A. B. : Il est difficile d’identifier immédiatement certains sujets lorsqu’on les aborde sans avoir préparé sa réponse. On parle beaucoup de climat, des études, de l’accès à la propriété, etc. Ce sont évidemment des sujets majeurs qui reviennent dans le cadre de toutes les campagnes. Et c’est bien normal que tous les partis en parlent et qu’ils l’aient tous intégré dans la dimension « jeunesse » de leurs programmes.

Moi, je crois qu’on peut approcher cette thématique (jeunesse, NDLR) de manière transversale. Je crois pouvoir utiliser mon expérience de mandataire local, de chef de cabinet d’une grande ville et cette expérience ministérielle passée pour combiner un peu ce que j’ai pu y voir, ce que j’ai pu y ressentir et avoir des propositions extrêmement ciblées et précises dans le cadre de sujets qui qui touchent particulièrement à la jeunesse.

D’autre part, j’ai l’impression qu’au niveau du Mouvement Réformateur, parce qu’on a une certaine étiquette « conservatrice » souvent donnée par les médias, par la presse, l’idée que nous serions moins en phase avec les désirs de la jeunesse se répand… Je n’y crois pas du tout. Je crois justement que notre projet de société est le plus adapté à notre génération. Il répond à toutes les aspirations de la jeunesse, qu’il s’agisse de la liberté de voyager, de la liberté de penser, de la liberté d’enseignement, de la liberté d’entreprise, etc. Tous ces principes qui sont en nous, qui sont dans notre jeunesse et qui sont d’une certaine manière un peu « garanties » dans notre type de démocratie. Défendre ces libertés, personne ne le fait mieux que le MR car c’est dans notre ADN de libéraux. Cependant, au regard de ce que nous voyons aujourd’hui dans nos pays voisins, il faut faire prendre conscience à toute une série de jeunes que ces libertés-là sont précieuses, mais fragiles. Il faut les préserver et il faut même, à mon sens, pouvoir les augmenter.

Nous avons besoin d’élire des mandataires solides, quels que soient les partis tant qu’ils ont pour colonne vertébrale des principes démocratiques forts et. Malheureusement, on constate qu’en Wallonie aujourd’hui, notamment à Liège, ou à Bruxelles, cette montée de l’extrême gauche. Toute une série de partis, dits démocratiques, tend à aller chasser sur des terrains qui deviennent à mon sens dangereux pour nos libertés. Il y a parfois des surenchères liberticides chez des partis plutôt traditionnels. Cela m’inquiète beaucoup pour notre jeunesse parce que, parfois, on vote pour un parti, pour son nom, pour ce qu’il est censé incarner. Ecolo, pour ne pas le citer. Je me demande si nous les jeunes, nous rendons bel et bien compte des propositions qui sont faites, notamment en matière de liberté de circulation alors que c’est quelque chose qui tient tout particulièrement à cœur à notre jeunesse, que ce soit par rapport à des expériences d’Erasmus, que ce soit la facilité de voyager au sein de notre pays ou de découvrir d’autres pays, d’autres expériences pour les backpackers par exemple.

J&L : Qu’est-ce qui vous motive à vous engager pour votre commune ?

A. B. : Bassenge est une commune de 9.000 habitants qui a un tissu associatif très fort. Tout le monde se connaît. En 2018, j’avais réalisé près de 600 voix de préférence, c’est-à-dire plus d’une personne sur dix au regard des votants a voté pour moi (NLDR : il y avait 5948 votants en 2018). C’est assez extraordinaire de voir l’attachement que les gens ont à l’égard de leurs représentants communaux et c’est très enthousiasmant par la suite de pouvoir se démener quand on reçoit pareille confiance.

Nous voyons concrètement ce que nous réalisons sur notre territoire et nous avons la capacité de réellement consulter les gens quand on veut faire avancer un dossier, en réunissant les bonnes personnes et en essayant de mettre un peu d’huile dans les rouages.

J&L : Qu’est-ce que représente, en termes d’investissement personnel, cet engagement au service de votre commune ?

A. B. : C’est hyper prenant ! J’arrive à combiner cet engagement avec les autres parce que c’est ma passion. Je dois avouer que je n’ai pas beaucoup d’autres loisirs, car j’y prends beaucoup de plaisir donc je ne ressens actuellement pas spécialement le besoin de changer de cadre de vie.

Toutes mes soirées sont consacrées à mon mandat politique, à l’exception du vendredi. On n’est pas sur du travail très formel le week-end, mais mon samedi est majoritairement consacré à mes dossiers Bassenge. Il est toutefois important de conserver le dimanche quand j’y arrive pour pouvoir passer un peu de temps avec ma compagne. Les journées commencent généralement à 07h30 du matin et se poursuivent jusque 22h- 23h, parfois minuit. Cela varie un petit peu tous les jours.

Il faut savoir dans quoi on s’engage quand on le fait, si on veut bien le faire. En tous les cas, libre à chacun de ne pas forcément avoir un métier à côté qui est aussi prenant que le mien. J’ai fait ce choix-là parce que j’ai envie d’engranger beaucoup d’expérience, parce que j’estime qu’à l’heure actuelle, j’ai l’énergie pour le faire.

J&L : Quels sont les dossiers locaux pour lesquels vous vous êtes particulièrement investi sous cette législature ?

A. B. : Il y en a eu beaucoup et il est nécessaire de distinguer les projets qui demandent un investissement de longue haleine dont les efforts entrepris ne sont pas toujours visibles et ceux de plus courte durée, mais dont le résultat est spectaculaire au niveau d’une commune. J’en vois trois dans le cas de Bassenge qui sont importants.

Nous venons d’inaugurer le parc des naissances. Il s’agit d’une opération intitulée « Une naissance, un arbre ». À chaque naissance, depuis 2022, nous avons décidé de planter un arbre par enfant de la commune né. Chacun d’entre eux dispose de son prénom sur l’espace public. Nous aurons à cœur de poursuivre ce projet et à pouvoir végétaliser davantage la commune. Son sens est de sensibiliser les générations futures à la préservation de l’environnement, et aussi d’adapter au mieux notre territoire aux effets du changement climatique.

L’autre projet concerne les smart cities. Au début de mon mandat d’échevin, j’ai fait en sorte que Bassenge remporte un appel à projets « territoires intelligents » lancés par la Région wallonne. Nous avons pu créer toute une smart zone dans un des villages de la commune avec des capteurs et des détecteurs de mouvements permettant, la nuit, de réellement baisser l’intensité de l’éclairage et de créer des « bulles de déplacement ». Quand quelqu’un passe, il est éclairé via une bulle sécurisante autour de lui. Ce détecteur est également lié à des capteurs de niveau d’eau que nous avons placé au niveau du Geer pour prévenir en cas de crues. C’est aussi un beau dossier qui m’a demandé beaucoup d’investissement personnel et une coordination de nombreux acteurs locaux, régionaux et du monde de l’entreprise.   

Enfin, le dernier dossier en est un qui est véritablement un travail de longue haleine et qui ne sera certainement pas le plus « sexy ». Il s’agit de la mise en place d’un plan communal de mobilité à Bassenge. Dans ce dossier, j’ai vu toutes les difficultés qu’on peut avoir quand on veut vraiment mener des dossiers stratégiques à des horizons de 10 ou 15 ans dans une commune. Le dossier est désormais sur les rails et devrait aboutir fin 2024. C’est aussi ça l’engagement politique local, oser mettre les mains dans le cambouis dans des dossiers complexes et fastidieux qui ne « rapportent » pas spécialement d’un point de vue électoral mais qui garantissent aux Bassengeois que leur espace public sera géré dans les années à venir avec une véritable stratégie sur le long-terme.

J&L : En quoi consiste le travail de chef de cabinet d’un échevin d’une des plus grandes villes de Wallonie ?

A. B. : Liège est une ville de 200.000 habitants donc les sollicitations sont nombreuses pour le collège communal. Ici, nous nous occupons de la mobilité, de la propreté, qui est aujourd’hui loin d’être une sinécure, de la transition écologique, enjeu central et transversal de toutes les politiques publiques, et du numérique. Au sein de l’échevinat de Gilles Foret, nous sommes une équipe de huit personnes. Le rôle du chef de cabinet est évidemment de coordonner cette équipe en fonction des matières de l’échevin, d’être en quelque sorte le chef d’orchestre pour que tous les dossiers soient suivis correctement, en y apporter une touche politique évidemment, au regard de la volonté de l’échevin, mais aussi de l’accord de majorité qui a été conclu en 2018, la déclaration de politique communale.

La gestion managériale et humaine du cabinet fait également partie de la fonction, pour que tout se passe bien entre tout le monde, dans les rapports avec l’administration, dont le service de la Gestion des Espaces Publics (GEP) qui est l’un des plus gros départements en matière de ressources humaines (300 personnes, NDLR), en raison de la gestion des nombreux de l’étendue du territoire.

Il y a le rapport aussi un peu privilégié avec l’échevin, qui consulte beaucoup, à qui je donne des avis, des conseils. Je m’occupe aussi beaucoup de sa communication, de la relation avec la presse, etc. Le travail est très varié, cela en fait son charme aussi parce qu’il permet de ne pas s’ennuyer, de réaliser des tâches différentes.

J&L : Quels conseils donneriez-vous à des jeunes qui voudraient s’engager politiquement ?

A. B. : De se donner à 200% dans toutes les opportunités qui se présentent ! Je crois qu’il ne faut pas faire la chasse aux mandats ni aux titres, ce n’est pas ça qui compte. Ce qui compte, c’est l’enrichissement, non l’enrichissement personnel évidemment, mais au travers de la cause. Il ne faut pas vouloir à tout prix un titre pour se faire valoir. Il faut mériter ce titre et assumer, au moment où ça « tombe sur les épaules », la charge parce qu’on peut avoir tous les titres que l’on veut, autant dans le milieu professionnel que dans le milieu politique, il faut pouvoir donner le meilleur de soi-même pour être reconnu tant par ses collègues que par les citoyens voire même par les représentants de l’opposition.

Je crois que si l’on veut atteindre ses objectifs, quels qu’ils soient, si on veut remplir la tâche correctement, il faut être prêt à faire des « sacrifices », parce que la chose publique est quelque chose d’extrêmement prenant.

Le revers de la médaille est que cela engendre des difficultés, parfois, dans les rapports humains alors que c’est quelque chose auquel il faut beaucoup veiller. J’y accorde une attention particulière, même avec l’adversaire politique. En politique, nous devons nous battre contre des valeurs, jamais contre les personnes.

Un autre conseil que je donnerais est de ne pas rentrer dans des guerres d’ego, des guerres de personnalité, mais de se battre pour des projets, pour des convictions. C’est ça l’essence même de la politique avec un grand P. Je constate qu’au niveau des organisations de jeunesse politique, il y a des combats individuels pour des postes, pour des prés carrés. Cela n’apporte rien et cela entache encore un peu un peu plus un milieu qui n’a pas bonne presse depuis maintenant de nombreuses années. C’est à nous, les jeunes, de relever ce défi-là pour lui redonner ses lettres de noblesse.

Classé sous :Actualité Balisé avec :Fédération des Organisations de Jeunesse libérales, Fédération Wallonie-Bruxelles, Jeunes, Jeunes & Libres, Secteur Jeunesse

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